Le secrétaire général du ministère, des responsables et cadres de l’administration centrale ont également pris part à l’évènement. À noter que le nombre total des adouls travaillant dans les différentes Cours d’appel du Royaume s’élève à 3.275, dont 2.983 hommes et 292 femmes.
Rappelons que le Maroc est le premier pays dans le monde arabo-musulman à habiliter la femme à exercer cette profession qui constitue un héritage de la tradition religieuse. La première promotion a prêté serment en 2020. Elle comptait 277 femmes parmi les 800 lauréats ayant réussi leur parcours à l’Institut supérieur de la Magistrature.
En outre, le Maroc avait autorisé l’accès des femmes aux concours en se basant sur l’article 4 de la loi 16-03, qui a été promulguée en 2008. Cet article ne limitait pas l’accès à un sexe déterminé. L’article 4 stipule que le candidat doit être « Marocain musulman » et être « âgé de vingt-cinq années, avoir moins de quarante-cinq années grégoriennes, jouir de ses droits civiques, être de bonne moralité et de bonnes mœurs ».
Rappelons que le Maroc est le premier pays dans le monde arabo-musulman à habiliter la femme à exercer cette profession qui constitue un héritage de la tradition religieuse. La première promotion a prêté serment en 2020. Elle comptait 277 femmes parmi les 800 lauréats ayant réussi leur parcours à l’Institut supérieur de la Magistrature.
En outre, le Maroc avait autorisé l’accès des femmes aux concours en se basant sur l’article 4 de la loi 16-03, qui a été promulguée en 2008. Cet article ne limitait pas l’accès à un sexe déterminé. L’article 4 stipule que le candidat doit être « Marocain musulman » et être « âgé de vingt-cinq années, avoir moins de quarante-cinq années grégoriennes, jouir de ses droits civiques, être de bonne moralité et de bonnes mœurs ».