Intervenant à l’ouverture d’une rencontre du Parti de l’Istiqlal à Taza, Nizar Baraka s’est félicité de la dynamique historique que connaît actuellement le dossier du Sahara marocain. Il a souligné que cette évolution positive s’explique par le soutien international croissant au plan d’autonomie sous souveraineté nationale, considéré comme la seule base réaliste pour un règlement définitif de ce différend régional.
Le secrétaire général du Parti de la Balance a indiqué que tous les regards sont désormais tournés vers le Conseil de sécurité de l’ONU, dont la réunion du 30 octobre prochain pourrait constituer un tournant décisif dans la résolution du dossier. Il a, à cet égard, appelé au renforcement de l’unité nationale et de la cohésion des citoyennes et citoyens autour de la cause nationale, ainsi qu’au soutien constant de la position du Maroc, fondée sur la paix, la stabilité et le développement partagé.
Dans ce contexte, Nizar Baraka a affirmé que l’ouverture des frontières entre le Maroc et l’Algérie - fermées depuis 1994, au grand dam des populations frontalières des deux pays, dont font partie les habitants de Taza, - permettrait de relancer le projet de l’Union du Maghreb arabe, contribuant à une croissance régionale estimée à deux points supplémentaires par an. Selon lui, la création d’un grand marché économique regroupant près de 100 millions d’habitants pourrait générer environ 20 000 emplois pour chaque point de croissance, favorisant ainsi le développement socio-économique et la stabilité du Maghreb.
Cette déclaration intervient alors que s’intensifient les signaux d’une médiation américaine entre Rabat et Alger. Lundi, l’émissaire itinérant de Donald Trump, Steve Witkoff, a évoqué la possibilité d’un accord de paix entre les deux pays dans un délai de 60 jours, en vue de clore le dossier du Sahara en faveur du Maroc, le plan d’autonomie étant, selon lui, la seule solution réaliste soutenue par l’ONU.
Dans la même semaine, le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, dont le dernier rapport au Conseil de sécurité dénonce les violations répétées du cessez-le-feu par le polisario, a appelé à un engagement accru de l’Algérie pour parvenir à une solution politique. Il a rappelé que les États voisins, notamment l’Algérie, ont « un rôle crucial à jouer » dans la résolution de ce différend, soulignant qu’une telle implication renforcerait également leur propre sécurité et leurs perspectives de développement.
Le secrétaire général du Parti de la Balance a indiqué que tous les regards sont désormais tournés vers le Conseil de sécurité de l’ONU, dont la réunion du 30 octobre prochain pourrait constituer un tournant décisif dans la résolution du dossier. Il a, à cet égard, appelé au renforcement de l’unité nationale et de la cohésion des citoyennes et citoyens autour de la cause nationale, ainsi qu’au soutien constant de la position du Maroc, fondée sur la paix, la stabilité et le développement partagé.
Dans ce contexte, Nizar Baraka a affirmé que l’ouverture des frontières entre le Maroc et l’Algérie - fermées depuis 1994, au grand dam des populations frontalières des deux pays, dont font partie les habitants de Taza, - permettrait de relancer le projet de l’Union du Maghreb arabe, contribuant à une croissance régionale estimée à deux points supplémentaires par an. Selon lui, la création d’un grand marché économique regroupant près de 100 millions d’habitants pourrait générer environ 20 000 emplois pour chaque point de croissance, favorisant ainsi le développement socio-économique et la stabilité du Maghreb.
Cette déclaration intervient alors que s’intensifient les signaux d’une médiation américaine entre Rabat et Alger. Lundi, l’émissaire itinérant de Donald Trump, Steve Witkoff, a évoqué la possibilité d’un accord de paix entre les deux pays dans un délai de 60 jours, en vue de clore le dossier du Sahara en faveur du Maroc, le plan d’autonomie étant, selon lui, la seule solution réaliste soutenue par l’ONU.
Dans la même semaine, le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, dont le dernier rapport au Conseil de sécurité dénonce les violations répétées du cessez-le-feu par le polisario, a appelé à un engagement accru de l’Algérie pour parvenir à une solution politique. Il a rappelé que les États voisins, notamment l’Algérie, ont « un rôle crucial à jouer » dans la résolution de ce différend, soulignant qu’une telle implication renforcerait également leur propre sécurité et leurs perspectives de développement.





















