Au-delà du constat immédiat, cette situation met en lumière une problématique plus profonde : l’absence d’un plan de réaménagement anticipé et la faiblesse des mécanismes de contrôle post-démolition. Les espaces publics, laissés sans encadrement, deviennent vulnérables aux dérives comportementales et à la dégradation environnementale.
Les observateurs estiment que la gestion de ce dossier illustre les limites d’une approche ponctuelle, centrée sur la démolition sans vision globale de valorisation. Ils appellent à une stratégie intégrée, combinant urbanisme, sécurité et sensibilisation citoyenne, afin de transformer ces espaces en pôles attractifs plutôt qu’en foyers de désordre.
La critique porte également sur la responsabilité partagée : si les autorités doivent assurer l’organisation et la surveillance, les citoyens sont invités à adopter des comportements respectueux de l’environnement et du bien commun. La réussite d’un tel chantier dépend d’une synergie réelle entre gouvernance locale et implication sociale.
Les observateurs estiment que la gestion de ce dossier illustre les limites d’une approche ponctuelle, centrée sur la démolition sans vision globale de valorisation. Ils appellent à une stratégie intégrée, combinant urbanisme, sécurité et sensibilisation citoyenne, afin de transformer ces espaces en pôles attractifs plutôt qu’en foyers de désordre.
La critique porte également sur la responsabilité partagée : si les autorités doivent assurer l’organisation et la surveillance, les citoyens sont invités à adopter des comportements respectueux de l’environnement et du bien commun. La réussite d’un tel chantier dépend d’une synergie réelle entre gouvernance locale et implication sociale.
Mohamed LOKHNATI





















