Tenue en marge de la 2ème édition du Forum d’Affaires de la Zone de Libre Échange Continentale Africaine (ZLECAF), cette réunion entend renforcer la coordination entre les pays africains et établir une feuille de route commune pour défendre les priorités du continent dans le cadre des négociations commerciales multilatérales, tout en ancrant l’action collective au sein du Groupe africain.
Les discussions et les interventions de cette réunion, présidée par le Maroc et modérée par le Mozambique, en sa qualité de coordonnateur du Groupe africain de l’OMC, et à laquelle ont pris part 16 ministres africains et plus de 30 délégations africaines, se sont basées sur le document consolidé du Groupe africain récemment publié à l’OMC, qui couvre les positions africaines sur les principales thématiques.
L’objectif principal de cette réunion est de rappeler l’attachement de l’Afrique à un système commercial multilatéral ouvert, juste, inclusif, non discriminatoire et fondé sur des règles. Ainsi, tous les participants ont réaffirmé, au noms de leur pays, leur engagement à faire réussir la Conférence de Yaoundé.
Les ministres et représentants africains ont également mis en exergue plusieurs éléments, notamment l’importance de préserver le traitement spécial et différencié (TSD) pour les pays en développement et les pays les moins avancés (PMA), afin de garantir un développement inclusif et durable, ainsi que la nécessité de dépasser les mesures commerciales restrictives et unilatérales, qui sont perçues comme un obstacle à la reprise économique et à la stabilité des chaînes d’approvisionnement.
La position du groupe d’Afrique vis-à-vis de la réforme de l’OMC a été également abordée en mettant le point sur la nécessité que cette réforme devrait être guidée par le développement, le renforcement de la transparence, la préservation de la fonction de règlement des différends, et doit être basée sur le consensus et l’implication de tous les pays membres.
Par ailleurs, les échanges ont fait apparaître une convergence réelle sur plusieurs questions prioritaires pour le continent africain, notamment l’agriculture et la sécurité alimentaire, les subventions à la pêche, le commerce des services, le commerce électronique.
Dans une déclaration à la MAP, le Secrétaire d’Etat chargé du Commerce extérieur, Omar Hejira, a mis en avant les efforts déployés par le Maroc, sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, dans le cadre de l’intégration africaine et du renforcement de la coopération Sud-Sud, relevant que la question relative aux préparatifs de la prochaine conférence ministérielle de l’OMC a constitué un point d’intérêt majeur lors de cette réunion de haut niveau.
“La réunion a aussi a traité plusieurs sujets d’une grande importance liés aux organisations du commerce mondial, notamment les réformes concernant ces organisations, ainsi qu’aux questions de sécurité alimentaire et de concurrence dans le secteur de la pêche maritime”, a-t-il ajouté, notant qu’”à travers cette réunion tenue sur le sol du Royaume du Maroc, un effort a été fait pour unifier les visions africaines”.
Dans une déclaration similaire, le ministre égyptien de l’Investissement et du Commerce extérieur, Hassan El Khatib, a souligné que le rôle des États consiste à faciliter et à ouvrir la voie au secteur privé pour importer, exporter et investir, faisant savoir que ce forum connait une forte participation des hommes d’affaires égyptiens.
“Lors de cette 2è édition du Forum des hommes d’Affaires de la ZLECAF, nous nous intéressons tout spécialement à la question du renforcement des échanges entre les entrepreneurs égyptiens et marocains”, a-t-il dit, ajoutant que lors de sa rencontre avec M. Hejira à Rabat, les deux ministes ont convenu de renforcer les relations commerciales et de parvenir à un certain équilibre dans la balance commerciale.
“Au cours de l’année passée, un développement important a été enregistré dans différents secteurs techniques, et le volume des échanges bilatéraux est en augmentation, notamment dans le secteur automobile”, a-t-il précisé, faisant remarquer que les deux parties ont aussi convenu de lever tous les obstacles entravant le commerce entre les deux pays et ont décidé de simplifier toutes les procédures nécessaires afin de faciliter les exportations des entreprises marocaines vers l’Égypte.
“Nous avons fixé des objectifs clairs, et nous espérons que le volume des échanges et l’équilibre commercial atteindra un meilleur niveau au cours de l’année prochaine”, a-t-il enchainé, avant de conclure que “le gouvernement égyptien encourage les investissements égyptiens au Maroc, car nous constatons que le Maroc traverse une période de grande prospérité”.
Les discussions et les interventions de cette réunion, présidée par le Maroc et modérée par le Mozambique, en sa qualité de coordonnateur du Groupe africain de l’OMC, et à laquelle ont pris part 16 ministres africains et plus de 30 délégations africaines, se sont basées sur le document consolidé du Groupe africain récemment publié à l’OMC, qui couvre les positions africaines sur les principales thématiques.
L’objectif principal de cette réunion est de rappeler l’attachement de l’Afrique à un système commercial multilatéral ouvert, juste, inclusif, non discriminatoire et fondé sur des règles. Ainsi, tous les participants ont réaffirmé, au noms de leur pays, leur engagement à faire réussir la Conférence de Yaoundé.
Les ministres et représentants africains ont également mis en exergue plusieurs éléments, notamment l’importance de préserver le traitement spécial et différencié (TSD) pour les pays en développement et les pays les moins avancés (PMA), afin de garantir un développement inclusif et durable, ainsi que la nécessité de dépasser les mesures commerciales restrictives et unilatérales, qui sont perçues comme un obstacle à la reprise économique et à la stabilité des chaînes d’approvisionnement.
La position du groupe d’Afrique vis-à-vis de la réforme de l’OMC a été également abordée en mettant le point sur la nécessité que cette réforme devrait être guidée par le développement, le renforcement de la transparence, la préservation de la fonction de règlement des différends, et doit être basée sur le consensus et l’implication de tous les pays membres.
Par ailleurs, les échanges ont fait apparaître une convergence réelle sur plusieurs questions prioritaires pour le continent africain, notamment l’agriculture et la sécurité alimentaire, les subventions à la pêche, le commerce des services, le commerce électronique.
Dans une déclaration à la MAP, le Secrétaire d’Etat chargé du Commerce extérieur, Omar Hejira, a mis en avant les efforts déployés par le Maroc, sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, dans le cadre de l’intégration africaine et du renforcement de la coopération Sud-Sud, relevant que la question relative aux préparatifs de la prochaine conférence ministérielle de l’OMC a constitué un point d’intérêt majeur lors de cette réunion de haut niveau.
“La réunion a aussi a traité plusieurs sujets d’une grande importance liés aux organisations du commerce mondial, notamment les réformes concernant ces organisations, ainsi qu’aux questions de sécurité alimentaire et de concurrence dans le secteur de la pêche maritime”, a-t-il ajouté, notant qu’”à travers cette réunion tenue sur le sol du Royaume du Maroc, un effort a été fait pour unifier les visions africaines”.
Dans une déclaration similaire, le ministre égyptien de l’Investissement et du Commerce extérieur, Hassan El Khatib, a souligné que le rôle des États consiste à faciliter et à ouvrir la voie au secteur privé pour importer, exporter et investir, faisant savoir que ce forum connait une forte participation des hommes d’affaires égyptiens.
“Lors de cette 2è édition du Forum des hommes d’Affaires de la ZLECAF, nous nous intéressons tout spécialement à la question du renforcement des échanges entre les entrepreneurs égyptiens et marocains”, a-t-il dit, ajoutant que lors de sa rencontre avec M. Hejira à Rabat, les deux ministes ont convenu de renforcer les relations commerciales et de parvenir à un certain équilibre dans la balance commerciale.
“Au cours de l’année passée, un développement important a été enregistré dans différents secteurs techniques, et le volume des échanges bilatéraux est en augmentation, notamment dans le secteur automobile”, a-t-il précisé, faisant remarquer que les deux parties ont aussi convenu de lever tous les obstacles entravant le commerce entre les deux pays et ont décidé de simplifier toutes les procédures nécessaires afin de faciliter les exportations des entreprises marocaines vers l’Égypte.
“Nous avons fixé des objectifs clairs, et nous espérons que le volume des échanges et l’équilibre commercial atteindra un meilleur niveau au cours de l’année prochaine”, a-t-il enchainé, avant de conclure que “le gouvernement égyptien encourage les investissements égyptiens au Maroc, car nous constatons que le Maroc traverse une période de grande prospérité”.
