Moul l’hanout s’est peu à peu mué en une véritable “institution de solidarité informelle”, accordant en moyenne 840 dirhams de crédit à chaque famille, dont près de 30 % ne relèvent même pas de son activité commerciale. C’est ce qu’a souligné au Parlement le ministre de l’Industrie et du Commerce, Ryad Mezzour, pour mettre en lumière le rôle social essentiel des commerces de proximité au sein de la société marocaine. Mais au-delà de cette mission solidaire, le petit épicier doit désormais moderniser son activité pour accompagner l’évolution de l’économie nationale. Travail des enfants - moins fréquent mais toujours préoccupant -, manque de formation, couverture sociale insuffisante. Autant de défis qui continuent de peser sur ces libéraux adorés par la population. Décryptage.
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