Rapproché par L’Opinion en marge d’une rencontre organisée par le Parti de l’Istiqlal à Taza, le ministre du Transport et de la Logistique, Abdessamad Kayouh, a indiqué que le projet de raccordement de la ligne Fès-Oujda au réseau national d’électricité est en cours, pour un budget d’un milliard et demi de dirhams. « Il sera probablement fin prêt d’ici la mi-2026, selon l’évolution des travaux », a-t-il fait savoir.
Selon le ministre, ce projet fait partie d’un programme d’envergure de l’Office national des chemins de fer (ONCF) visant à moderniser la ligne ferroviaire Rabat-Oujda, à travers le renouvellement de la flotte ferroviaire et la création d’une double voie entre Fès et Taza.
L’objectif, poursuit-il, est de réhabiliter la ligne afin de réduire le temps de trajet entre les deux villes tout en offrant un cadre de voyage de qualité pour les passagers, conformément à la stratégie de modernisation du réseau national.
Ce projet s’ajoute à la nouvelle gare ferroviaire de Taza, entrée en service début septembre. Dotée d’une enveloppe globale de 50 millions de dirhams, cette gare moderne, fonctionnelle et pensée pour le confort des voyageurs, est située à proximité des principales artères de la ville. Elle s’impose désormais comme un véritable repère urbain et ouvre la voie à de nouvelles liaisons vers Fès et Al Hoceïma.
Il est à noter que la ligne ferroviaire reliant Fès à la région de l’Oriental constitue aujourd’hui un véritable calvaire pour les passagers souhaitant se rendre à Taza ou à Oujda. Après un trajet plutôt acceptable entre Casablanca et Fès, les voyageurs découvrent une toute autre réalité sur le tronçon Fès–Taza–Oujda : wagons obsolètes, vitesse limitée à 30 km/h dans certaines zones, temps de trajet excessif (près de deux heures et demie) au regard de la distance entre les villes, sans oublier les pannes récurrentes qui transforment le voyage en une véritable épreuve.
Selon le ministre, ce projet fait partie d’un programme d’envergure de l’Office national des chemins de fer (ONCF) visant à moderniser la ligne ferroviaire Rabat-Oujda, à travers le renouvellement de la flotte ferroviaire et la création d’une double voie entre Fès et Taza.
L’objectif, poursuit-il, est de réhabiliter la ligne afin de réduire le temps de trajet entre les deux villes tout en offrant un cadre de voyage de qualité pour les passagers, conformément à la stratégie de modernisation du réseau national.
Ce projet s’ajoute à la nouvelle gare ferroviaire de Taza, entrée en service début septembre. Dotée d’une enveloppe globale de 50 millions de dirhams, cette gare moderne, fonctionnelle et pensée pour le confort des voyageurs, est située à proximité des principales artères de la ville. Elle s’impose désormais comme un véritable repère urbain et ouvre la voie à de nouvelles liaisons vers Fès et Al Hoceïma.
Il est à noter que la ligne ferroviaire reliant Fès à la région de l’Oriental constitue aujourd’hui un véritable calvaire pour les passagers souhaitant se rendre à Taza ou à Oujda. Après un trajet plutôt acceptable entre Casablanca et Fès, les voyageurs découvrent une toute autre réalité sur le tronçon Fès–Taza–Oujda : wagons obsolètes, vitesse limitée à 30 km/h dans certaines zones, temps de trajet excessif (près de deux heures et demie) au regard de la distance entre les villes, sans oublier les pannes récurrentes qui transforment le voyage en une véritable épreuve.





















