L'Ordre des avocats de Murcie (ICAMUR) a signé, récemment en Espagne, un accord de coopération avec l'Ordre des avocats de Tétouan dans le but de promouvoir l'internationalisation des relations juridiques et la mobilité des avocats entre le Maroc et l'Espagne.
L'accord a été ratifié par le doyen de l'ICAMUR, Francisco Martínez-Escribano, et le représentant du Barreau de Tétouan, Karim Chaoundri. Les membres du Conseil de direction de l'Ordre des avocats de Murcie ont assisté à l'événement.
Selon les données du ministère des Affaires étrangères, l'Espagne est le premier partenaire commercial du Maroc au sein de l'UE et, ces dernières années, elle a renforcé sa position de leader, passant de 31 % des exportations de l'UE vers le Maroc en 2012 à près de 50 % aujourd'hui.
Pour les signataires, les affinités culturelles entre le Maroc et l'Espagne constituent une opportunité très bénéfique pour tous les membres des deux associations professionnelles.
En outre, les liens entre les deux institutions seront renforcés et des échanges auront lieu dans l’optique de promouvoir la coopération, d’analyser les droits internes des deux pays - harmonisation rendue possible par le droit international -, les pratiques judiciaires professionnelles, ainsi que pour contribuer à la défense des intérêts communs de la profession.
L'accord a été ratifié par le doyen de l'ICAMUR, Francisco Martínez-Escribano, et le représentant du Barreau de Tétouan, Karim Chaoundri. Les membres du Conseil de direction de l'Ordre des avocats de Murcie ont assisté à l'événement.
Selon les données du ministère des Affaires étrangères, l'Espagne est le premier partenaire commercial du Maroc au sein de l'UE et, ces dernières années, elle a renforcé sa position de leader, passant de 31 % des exportations de l'UE vers le Maroc en 2012 à près de 50 % aujourd'hui.
Pour les signataires, les affinités culturelles entre le Maroc et l'Espagne constituent une opportunité très bénéfique pour tous les membres des deux associations professionnelles.
En outre, les liens entre les deux institutions seront renforcés et des échanges auront lieu dans l’optique de promouvoir la coopération, d’analyser les droits internes des deux pays - harmonisation rendue possible par le droit international -, les pratiques judiciaires professionnelles, ainsi que pour contribuer à la défense des intérêts communs de la profession.
