Selon une déclaration officielle, le délit d’« insubordination commise par plus de deux personnes armées » arrive en tête des infractions, représentant 20,37 % des poursuites, suivi du délit d’« outrage et violence envers un fonctionnaire public dans l’exercice de ses fonctions ayant entraîné une effusion de sang » avec 17,31 %, puis de l’« incitation à commettre des crimes et délits et participation à un attroupement armé » avec 17,22 %.
Le Parquet général a précisé que 1.473 personnes ont été placées en détention, tandis que 959 ont été poursuivies en liberté, après que les enquêtes ont prouvé leur implication dans des actes criminels graves portant atteinte à la sécurité des personnes et des biens, ainsi qu’à l’ordre public. La même source a ajouté que ces événements avaient conduit à l’arrestation d’un grand nombre de personnes, dont 3.300 ont été relâchées après vérification d’identité par les services de sécurité, tandis que plusieurs mineurs impliqués ont été remis à leurs parents.
Le communiqué détaille également la nature des autres infractions reprochées aux accusés : destructions et pillages de biens publics à l’aide de la force, dégradations d’équipements collectifs, entrave à la circulation, dégâts matériels sur des propriétés privées, vols qualifiés, incendies volontaires de bâtiments inoccupés et de véhicules, ainsi que la possession d’armes dans des conditions menaçant la sécurité publique. Le Parquet a affirmé que les interventions des forces de l’ordre ont été conformes à la loi, leur objectif étant de protéger les vies, les biens et de maintenir l’ordre public.
S’appuyant sur les données disponibles au 27 octobre 2025, la même source a indiqué que les jugements rendus dans ces affaires reflètent la gravité des actes commis : les Chambres criminelles des Cours d’appel ont prononcé des décisions à l’encontre de 66 accusés, dont 61 condamnés et 5 acquittés. Les peines d’emprisonnement ont varié entre un an et quinze ans, la Cour ayant tenu compte de circonstances atténuantes liées à la situation sociale des condamnés, bien que le maximum légal pour certains crimes atteigne 30 ans de prison.
Les tribunaux de première instance ont, pour leur part, rendu 301 jugements, dont 208 condamnations avec peine ferme, 66 avec sursis, et 27 acquittements. Concernant les mineurs, 83 décisions ont ordonné leur remise à leurs parents, dans le respect de leur intérêt supérieur.
Le Parquet général a conclu que toutes les garanties d’un procès équitable ont été respectées tout au long des enquêtes et des procédures judiciaires, démentant catégoriquement les allégations faisant état d’aveux obtenus sous la contrainte. Il a également précisé que les jugements ont été rendus dans des délais raisonnables.
Le Parquet général a précisé que 1.473 personnes ont été placées en détention, tandis que 959 ont été poursuivies en liberté, après que les enquêtes ont prouvé leur implication dans des actes criminels graves portant atteinte à la sécurité des personnes et des biens, ainsi qu’à l’ordre public. La même source a ajouté que ces événements avaient conduit à l’arrestation d’un grand nombre de personnes, dont 3.300 ont été relâchées après vérification d’identité par les services de sécurité, tandis que plusieurs mineurs impliqués ont été remis à leurs parents.
Le communiqué détaille également la nature des autres infractions reprochées aux accusés : destructions et pillages de biens publics à l’aide de la force, dégradations d’équipements collectifs, entrave à la circulation, dégâts matériels sur des propriétés privées, vols qualifiés, incendies volontaires de bâtiments inoccupés et de véhicules, ainsi que la possession d’armes dans des conditions menaçant la sécurité publique. Le Parquet a affirmé que les interventions des forces de l’ordre ont été conformes à la loi, leur objectif étant de protéger les vies, les biens et de maintenir l’ordre public.
S’appuyant sur les données disponibles au 27 octobre 2025, la même source a indiqué que les jugements rendus dans ces affaires reflètent la gravité des actes commis : les Chambres criminelles des Cours d’appel ont prononcé des décisions à l’encontre de 66 accusés, dont 61 condamnés et 5 acquittés. Les peines d’emprisonnement ont varié entre un an et quinze ans, la Cour ayant tenu compte de circonstances atténuantes liées à la situation sociale des condamnés, bien que le maximum légal pour certains crimes atteigne 30 ans de prison.
Les tribunaux de première instance ont, pour leur part, rendu 301 jugements, dont 208 condamnations avec peine ferme, 66 avec sursis, et 27 acquittements. Concernant les mineurs, 83 décisions ont ordonné leur remise à leurs parents, dans le respect de leur intérêt supérieur.
Le Parquet général a conclu que toutes les garanties d’un procès équitable ont été respectées tout au long des enquêtes et des procédures judiciaires, démentant catégoriquement les allégations faisant état d’aveux obtenus sous la contrainte. Il a également précisé que les jugements ont été rendus dans des délais raisonnables.
Rime TAYBOUTA























