S’exprimant au Nom de Sa Majesté le Roi Mohammed VI auquel revient le mérite de cette approche sur la base de laquelle le Maroc a construit sa politique de gestion de la migration intra et extra-africaine, à travers le lancement dès 2013 de la Stratégie Nationale d’Immigration et d’Asile (SNIA), dans un contexte international alors profondément troublé par les impacts migratoires des «Printemps arabes» et de l’instabilité galopante dans la région sahélo-saharienne, Nizar Baraka en a rappelé les fondements.
«La migration n’est pas un problème à gérer, mais un potentiel à libérer, une responsabilité à assumer, et une opportunité à saisir ensemble. Car comme l’a si justement rappelé Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Leader de l’Union Africaine sur la question migratoire, «la migration est – et doit rester – une expérience positive, un facteur de développement et de compréhension mutuelle».
Alors que la plupart des États, européens comme africains, continuent à considérer la migration comme un fardeau sécuritaire, avec son lot de drames humains et d’impacts financiers aussi déplorables que considérables, le Maroc, qui figure au front des pays les plus exposés à ce phénomène de par sa situation géographique au carrefour des continents, a choisi de manière précoce de changer le «mindset dominant», pour gérer la question migratoire de la manière la plus humaine et la plus positive qui soit, quitte à essuyer quelques reproches et incompréhensions de part et d’autre des rives africaine et européenne.
Et c’est justement ce que Nizar Baraka, dans son discours prononcé au Nom de Sa Majesté le Roi, a traduit par la formule pleine de sens : «Transformation positive». Une transformation inéluctable que tous les Etats concernés gagneraient à accélérer, à travers «l’ouverture de voies de mobilité régulière, plus fluides, plus sûres et réellement mutuellement avantageuses».
Un objectif qui nécessite le renforcement du soutien aux structures continentales africaines, comme l’Observatoire Africain des Migrations, basé à Rabat, ainsi qu’aux initiatives privées émanant des sociétés civiles africaines et européennes actives dans le domaine et dont l’expertise permettrait une meilleure gestion de la question, basée sur la compréhension, l’analyse et l’anticipation.
«La migration n’est pas un problème à gérer, mais un potentiel à libérer, une responsabilité à assumer, et une opportunité à saisir ensemble. Car comme l’a si justement rappelé Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Leader de l’Union Africaine sur la question migratoire, «la migration est – et doit rester – une expérience positive, un facteur de développement et de compréhension mutuelle».
Alors que la plupart des États, européens comme africains, continuent à considérer la migration comme un fardeau sécuritaire, avec son lot de drames humains et d’impacts financiers aussi déplorables que considérables, le Maroc, qui figure au front des pays les plus exposés à ce phénomène de par sa situation géographique au carrefour des continents, a choisi de manière précoce de changer le «mindset dominant», pour gérer la question migratoire de la manière la plus humaine et la plus positive qui soit, quitte à essuyer quelques reproches et incompréhensions de part et d’autre des rives africaine et européenne.
Et c’est justement ce que Nizar Baraka, dans son discours prononcé au Nom de Sa Majesté le Roi, a traduit par la formule pleine de sens : «Transformation positive». Une transformation inéluctable que tous les Etats concernés gagneraient à accélérer, à travers «l’ouverture de voies de mobilité régulière, plus fluides, plus sûres et réellement mutuellement avantageuses».
Un objectif qui nécessite le renforcement du soutien aux structures continentales africaines, comme l’Observatoire Africain des Migrations, basé à Rabat, ainsi qu’aux initiatives privées émanant des sociétés civiles africaines et européennes actives dans le domaine et dont l’expertise permettrait une meilleure gestion de la question, basée sur la compréhension, l’analyse et l’anticipation.
