Le 11 novembre, la Commission Européenne a validé une proposition visant à relancer les pourparlers sur les accords de pêche entre le Maroc et l’Union Européenne, suspendus depuis juillet 2023. Une décision qui a fait l’effet d’un véritable coup de massue pour Alger et les séparatistes du Polisario, d’autant qu’elle intervient à peine dix jours après la Résolution historique du Conseil de Sécurité consacrant le plan d’autonomie sous souveraineté marocaine comme l’unique cadre de négociation crédible et réaliste. À l’Est du Royaume, l’agitation bat son plein et les actions désespérées se multiplient, révélant à la communauté internationale qu’elle a choisi la voie la plus cohérente et la plus stable. Dernière bourde en date, l’annonce par le Polisario de son intention de saisir la Cour de Justice de l’Union Européenne pour contester, une fois de plus, l’accord de pêche. Une tentative vaine, du moment que l’UE considère le Maroc comme «la puissance administrante» du territoire, lui reconnaissant de facto le droit de conclure des accords commerciaux incluant le Sahara, dès lors qu’ils respectent les principes de la Charte des Nations Unies. C’est d’ailleurs cette même reconnaissance qui avait rendu bancale la décision d’annulation de la Cour il y a deux ans, alors qu’elle reposait sur des approximations juridiques majeures et s’écartait du processus onusien, notamment en adoptant une définition restrictive des « populations sahraouies » et en ignorant les réalités démographiques actuelles.
Et pendant que la panique gagne Alger, Bruxelles, elle, réfléchit et anticipe d’abord pour faire oublier le péché originel de la Cour et rétablir la confiance avec Rabat, puis pour engager avec le Maroc un partenariat commercial qui dépasse les simples dividendes financiers et s’inscrit dans une vaste vision atlantique à forte portée géopolitique.
À Moscou, en revanche, on observe ! Après la signature d’un accord de pêche de quatre ans couvrant toute la façade atlantique du Royaume, la Russie cherche un partenaire fiable dans la région pour consolider ses ambitions africaines.
Et tout laisse penser que les intentions affichées en 2016, lors de la visite du Souverain à Moscou, sont enfin en passe de se concrétiser sur le terrain.
C’est que les cartes sont déjà distribuées, avec le Maroc clairement au centre. Alors, chers détracteurs, cessez vos gesticulations et concentrez-vous sur le plan d’autonomie. Le Maroc, lui, vous tend la main…
Et pendant que la panique gagne Alger, Bruxelles, elle, réfléchit et anticipe d’abord pour faire oublier le péché originel de la Cour et rétablir la confiance avec Rabat, puis pour engager avec le Maroc un partenariat commercial qui dépasse les simples dividendes financiers et s’inscrit dans une vaste vision atlantique à forte portée géopolitique.
À Moscou, en revanche, on observe ! Après la signature d’un accord de pêche de quatre ans couvrant toute la façade atlantique du Royaume, la Russie cherche un partenaire fiable dans la région pour consolider ses ambitions africaines.
Et tout laisse penser que les intentions affichées en 2016, lors de la visite du Souverain à Moscou, sont enfin en passe de se concrétiser sur le terrain.
C’est que les cartes sont déjà distribuées, avec le Maroc clairement au centre. Alors, chers détracteurs, cessez vos gesticulations et concentrez-vous sur le plan d’autonomie. Le Maroc, lui, vous tend la main…




















