La rencontre s’est articulée sur plusieurs axes donnant lieu à des interventions qui ont convenu à l'unanimité que la diffusion d'informations trompeuses et mensongères est une violation flagrante du droit des citoyens à obtenir des informations fiables et exactes et une menace pour l'ensemble de la société en termes de sécurité et de stabilité, car leurs sources ne sont ni vérifiées ni crédibles.
Les fake news sont répandues par exemple pour révéler de soi-disant informations tenues sécrètes (théorie du complot), favoriser ou dénigrer une idée au détriment d’une autre, ou encore entacher la réputation d’une personne.
La conférence a réuni plusieurs figures du domaine du journalisme et de la communication, notamment Abdelghani Berdi, chef de division du Conseil national des droits de l'homme, Sami El Moudni, chef du Forum marocain des jeunes journalistes, Latifa Akherbach, présidente de la Haute Autorité de la communication audiovisuelle du Maroc, le représentant du Ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, ainsi que d’autres intervenants qui ont débattu des mesures à prendre pour lutter contre les fakes news.
Dans ce sillage, Abdelghani Berdi en a appelé à une responsabilité commune, liée aux rôles sociétaux de la presse, des médias, des journalistes hommes et femmes, en vertu des règles de déontologie pour traquer les informations incorrectes et invérifiables, à travers le service de Fact-Checking.
Les participants se sont également arrêtés sur les facteurs qui expliquent le phénomène de propagation et de croissance des pratiques trompeuses, pointant du doigt les crises de la médiation démocratique et la théorie du complot qui se nourrit de ces crises.
Ces déviations et ces abus pratiqués par les lobbies et les groupes d'intérêt, ont fragilisé le citoyen face aux pratiques trompeuses, y compris la stratégie d'influence et de pression qui fait le jeu de la propagation des fausses informations.
Les fake news sont répandues par exemple pour révéler de soi-disant informations tenues sécrètes (théorie du complot), favoriser ou dénigrer une idée au détriment d’une autre, ou encore entacher la réputation d’une personne.
La conférence a réuni plusieurs figures du domaine du journalisme et de la communication, notamment Abdelghani Berdi, chef de division du Conseil national des droits de l'homme, Sami El Moudni, chef du Forum marocain des jeunes journalistes, Latifa Akherbach, présidente de la Haute Autorité de la communication audiovisuelle du Maroc, le représentant du Ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, ainsi que d’autres intervenants qui ont débattu des mesures à prendre pour lutter contre les fakes news.
Dans ce sillage, Abdelghani Berdi en a appelé à une responsabilité commune, liée aux rôles sociétaux de la presse, des médias, des journalistes hommes et femmes, en vertu des règles de déontologie pour traquer les informations incorrectes et invérifiables, à travers le service de Fact-Checking.
Les participants se sont également arrêtés sur les facteurs qui expliquent le phénomène de propagation et de croissance des pratiques trompeuses, pointant du doigt les crises de la médiation démocratique et la théorie du complot qui se nourrit de ces crises.
Ces déviations et ces abus pratiqués par les lobbies et les groupes d'intérêt, ont fragilisé le citoyen face aux pratiques trompeuses, y compris la stratégie d'influence et de pression qui fait le jeu de la propagation des fausses informations.
