Lors d’une interview accordée au quotidien algérien El Watan, publiée le 4 août, Massad Boulos a été interpellé sur le dossier du Sahara, rappelant notamment que « le soutien au plan marocain d’autonomie a suscité une réaction des autorités algériennes qui ont regretté cette position ».
En réponse à la question de connaître la solution au conflit qui serait « acceptable pour tous », Boulos a rappelé de façon très claire que « les Etats-Unis continuent de croire qu’une autonomie réelle sous souveraineté marocaine est la seule solution envisageable ».
Et de paraphraser les propos du chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, favorables à l’intégrité territoriale marocaine. « Le secrétaire a réaffirmé l’appel du président Trump aux parties pour qu’elles s’engagent sans délai dans des discussions, en utilisant la proposition marocaine d’autonomie comme seul cadre, pour négocier une solution mutuellement acceptable [et a] indiqué que les Etats-Unis faciliteraient des progrès vers cet objectif », a-t-il déclaré à El Watan.
Dans le cadre de sa tournée maghrébine, dont la dernière étape en date était l’Algérie, Boulos a échangé directement avec le président Tebboune et le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, « au sujet de l’engagement des Etats-Unis en faveur d’un règlement pacifique, attendu depuis longtemps, et de nos efforts communs pour y parvenir ».
Les propos de Boulos devant un média algérien aussi proéminent qu’El Watan viennent écraser définitivement les espoirs algériens d’un potentiel revers diplomatique américain sur la question du Sahara. La dernière lettre du président Trump au Roi Mohammed VI à l’occasion de la Fête du Trône, adressée deux jours avant la publication de l’interview, réaffirme la reconnaissance de la souveraineté marocaine sur le Sahara ainsi que de la proposition d’autonomie comme seule base de règlement du conflit.
Face à un consensus international croissant sur la marocanité du Sahara, dont s’est félicité le Roi lors du dernier discours du Trône, l’Etat algérien n’a d’autre choix, pour sortir de cette impasse diplomatique où elle s’enfonce de plus en plus en dépit du bon sens et des réalités sur le terrain, que de répondre favorablement à la main tendue maintes fois par le Maroc au nom des liens fraternels unissant nos deux pays.
Une réponse algérienne favorable à l’appel marocain favoriserait la recherche « d’une solution consensuelle qui sauve la face à toutes les parties, où il n’y aura ni vainqueur ni vaincu », comme a souligné le Roi lors du discours de la Fête du Trône.
En réponse à la question de connaître la solution au conflit qui serait « acceptable pour tous », Boulos a rappelé de façon très claire que « les Etats-Unis continuent de croire qu’une autonomie réelle sous souveraineté marocaine est la seule solution envisageable ».
Et de paraphraser les propos du chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, favorables à l’intégrité territoriale marocaine. « Le secrétaire a réaffirmé l’appel du président Trump aux parties pour qu’elles s’engagent sans délai dans des discussions, en utilisant la proposition marocaine d’autonomie comme seul cadre, pour négocier une solution mutuellement acceptable [et a] indiqué que les Etats-Unis faciliteraient des progrès vers cet objectif », a-t-il déclaré à El Watan.
Dans le cadre de sa tournée maghrébine, dont la dernière étape en date était l’Algérie, Boulos a échangé directement avec le président Tebboune et le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, « au sujet de l’engagement des Etats-Unis en faveur d’un règlement pacifique, attendu depuis longtemps, et de nos efforts communs pour y parvenir ».
Les propos de Boulos devant un média algérien aussi proéminent qu’El Watan viennent écraser définitivement les espoirs algériens d’un potentiel revers diplomatique américain sur la question du Sahara. La dernière lettre du président Trump au Roi Mohammed VI à l’occasion de la Fête du Trône, adressée deux jours avant la publication de l’interview, réaffirme la reconnaissance de la souveraineté marocaine sur le Sahara ainsi que de la proposition d’autonomie comme seule base de règlement du conflit.
Face à un consensus international croissant sur la marocanité du Sahara, dont s’est félicité le Roi lors du dernier discours du Trône, l’Etat algérien n’a d’autre choix, pour sortir de cette impasse diplomatique où elle s’enfonce de plus en plus en dépit du bon sens et des réalités sur le terrain, que de répondre favorablement à la main tendue maintes fois par le Maroc au nom des liens fraternels unissant nos deux pays.
Une réponse algérienne favorable à l’appel marocain favoriserait la recherche « d’une solution consensuelle qui sauve la face à toutes les parties, où il n’y aura ni vainqueur ni vaincu », comme a souligné le Roi lors du discours de la Fête du Trône.
