Le Syndicat Professionnel Marocain des Créateurs de la Chanson (SPMCC) a exprimé ce jeudi, par la voix de son secrétaire général Tawfik Ammor, sa vive préoccupation quant au déroulement des élections des représentants artistiques au sein du Conseil de gestion du Bureau Marocain des Droits d’Auteurs et des Droits Voisins (BMDAV). 
   
« Avec sujet, nous avons saisi le chef du gouvernement afin qu’il intervienne en qualité d’arbitre dans ce processus, dont les modalités suscitent de sérieuses interrogations », a déclaré Tawfik. Il a souligné que le SPMCC ne nourrit aucune ambition de conquête de sièges ou de fonctions, mais aspire à un scrutin conforme aux dispositions légales, transparent, et garant d’une représentation compétente et équitable des créateurs.
   
Le secrétaire général déplore les dysfonctionnements observés, qu’il attribue aux critères et procédures arrêtés par une commission « ne représentant qu’elle-même ». Il appelle à la suspension immédiate du processus électoral en cours et à une révision de ses fondements, dans un esprit de respect et de responsabilité.
   
« En tant qu’artistes, auteurs et membres engagés du Bureau, nous espérons une résolution digne et apaisée de ce différend », conclut Tawfik Ammor.
   
    « Avec sujet, nous avons saisi le chef du gouvernement afin qu’il intervienne en qualité d’arbitre dans ce processus, dont les modalités suscitent de sérieuses interrogations », a déclaré Tawfik. Il a souligné que le SPMCC ne nourrit aucune ambition de conquête de sièges ou de fonctions, mais aspire à un scrutin conforme aux dispositions légales, transparent, et garant d’une représentation compétente et équitable des créateurs.
Le secrétaire général déplore les dysfonctionnements observés, qu’il attribue aux critères et procédures arrêtés par une commission « ne représentant qu’elle-même ». Il appelle à la suspension immédiate du processus électoral en cours et à une révision de ses fondements, dans un esprit de respect et de responsabilité.
« En tant qu’artistes, auteurs et membres engagés du Bureau, nous espérons une résolution digne et apaisée de ce différend », conclut Tawfik Ammor.
Mohamed LOKHNATI
  
				 









 
			 
 




 
 
			 






