Les dégâts sont concentrés dans les régions de Donetsk (est), Kharkiv (nord-est), Lougansk (est), Zaporijjia (sud), Kherson (sud), toutes situées à proximité de la ligne de front actuelle, et Kiev (nord).
"Dans tout le pays, 10% du parc immobilier a été endommagé ou détruit, prolongeant ainsi le déplacement des Ukrainiens hors de leurs communautés", est-il ajouté.
La destruction du barrage de Kakhovka (sud) et de la centrale hydroélectrique en juin 2023 -imputée par Kiev à Moscou dont les troupes occupent la zone- , "a eu des impacts négatifs importants sur l'environnement et l'agriculture et a exacerbé les difficultés déjà rencontrées par les personnes qui luttent pour accéder au logement, à l'eau, à la nourriture et aux services de santé", ajoute le Banque mondiale.
Cette "analyse approfondie et à jour des pertes et des besoins (...) nous permet de définir correctement les priorités, d'allouer rationnellement les ressources et d'obtenir les résultats escomptés", a commenté le Premier ministre ukrainien Denys Chmygal dans un communiqué.
Ces évaluations ne concernent pas les régions du pays actuellement occupées par les troupes russes, car elles sont inaccessibles.
Selon la Banque mondiale, le chiffre de 486 milliards -estimé sur 10 ans-, concerne le logement (17%), suivi des transports (15%), du commerce et de l'industrie (14%), de l'agriculture (12%), de l'énergie (10%), de la protection sociale et des moyens de subsistance (9%), et de la gestion des risques d'explosion (7%).
"Dans tout le pays, 10% du parc immobilier a été endommagé ou détruit, prolongeant ainsi le déplacement des Ukrainiens hors de leurs communautés", est-il ajouté.
La destruction du barrage de Kakhovka (sud) et de la centrale hydroélectrique en juin 2023 -imputée par Kiev à Moscou dont les troupes occupent la zone- , "a eu des impacts négatifs importants sur l'environnement et l'agriculture et a exacerbé les difficultés déjà rencontrées par les personnes qui luttent pour accéder au logement, à l'eau, à la nourriture et aux services de santé", ajoute le Banque mondiale.
Cette "analyse approfondie et à jour des pertes et des besoins (...) nous permet de définir correctement les priorités, d'allouer rationnellement les ressources et d'obtenir les résultats escomptés", a commenté le Premier ministre ukrainien Denys Chmygal dans un communiqué.
Ces évaluations ne concernent pas les régions du pays actuellement occupées par les troupes russes, car elles sont inaccessibles.
Selon la Banque mondiale, le chiffre de 486 milliards -estimé sur 10 ans-, concerne le logement (17%), suivi des transports (15%), du commerce et de l'industrie (14%), de l'agriculture (12%), de l'énergie (10%), de la protection sociale et des moyens de subsistance (9%), et de la gestion des risques d'explosion (7%).