En effet, malgré quelques incidents ponctuels avec les chauffeurs de taxi, la mobilité urbaine a connu ces dernières années une progression rapide des applications comme Careem (rachetée par Uber), InDrive, Yango ou Heetch.
Uber ne pouvait pas demeurer absent du marché, d’autant plus que les grands événements sportifs à venir, notamment la Coupe du Monde 2030, ainsi que la dynamique touristique que connaissent plusieurs villes du pays, créent un environnement particulièrement propice à son activité.
D’autre part, parmi les millions de visiteurs attendus, une grande partie a l’habitude de recourir à l’application Uber pour ses déplacements. Ils ne comprendraient pas qu’une fois arrivés au Maroc, ils ne puissent plus utiliser un service devenu incontournable dans la plupart des grandes villes du monde.
La multinationale californienne n’a pas détaillé les démarches administratives qui ont précédé sa réinstallation au Maroc, ni les conditions qui lui ont été imposées. Du côté du gouvernement, un texte serait en cours d’élaboration pour encadrer cette activité.
Plusieurs licences ont déjà été accordées à des entreprises qui ont développé des plateformes numériques de réservation intelligente, en veillant au respect des lois et des droits des utilisateurs et des professionnels.
Reste qu’un travail de pédagogie et de communication devra être mené, non seulement auprès des usagers, mais aussi des taximen, afin d’éviter tout accrochage durant les événements sportifs et de garantir que le transport urbain fonctionne dans un esprit de concurrence saine, où chaque acteur trouve sa place.
Uber ne pouvait pas demeurer absent du marché, d’autant plus que les grands événements sportifs à venir, notamment la Coupe du Monde 2030, ainsi que la dynamique touristique que connaissent plusieurs villes du pays, créent un environnement particulièrement propice à son activité.
D’autre part, parmi les millions de visiteurs attendus, une grande partie a l’habitude de recourir à l’application Uber pour ses déplacements. Ils ne comprendraient pas qu’une fois arrivés au Maroc, ils ne puissent plus utiliser un service devenu incontournable dans la plupart des grandes villes du monde.
La multinationale californienne n’a pas détaillé les démarches administratives qui ont précédé sa réinstallation au Maroc, ni les conditions qui lui ont été imposées. Du côté du gouvernement, un texte serait en cours d’élaboration pour encadrer cette activité.
Plusieurs licences ont déjà été accordées à des entreprises qui ont développé des plateformes numériques de réservation intelligente, en veillant au respect des lois et des droits des utilisateurs et des professionnels.
Reste qu’un travail de pédagogie et de communication devra être mené, non seulement auprès des usagers, mais aussi des taximen, afin d’éviter tout accrochage durant les événements sportifs et de garantir que le transport urbain fonctionne dans un esprit de concurrence saine, où chaque acteur trouve sa place.




















