Ce même vendredi, le Conseil de sécurité des Nations Unies a adopté une résolution américaine qualifiée d’« historique » en faveur de la marocanité du Sahara. Treize pays membres ont voté pour, tandis que trois (la Russie, la Chine et un autre État) se sont abstenus. L’Algérie, pour sa part, n’a pas pris part au vote.
Cette adoption constitue une victoire diplomatique majeure pour le Maroc, marquant un tournant décisif dans le traitement de la question du Sahara au sein des instances internationales. En Le texte fait passer le dossier d’une phase d’ambiguïté prolongée à une étape de clarification et de définition d’un cadre réaliste pour la solution, fondé sur l’initiative marocaine d’autonomie et soutenu directement par la principale puissance du Conseil de sécurité, les États-Unis.
Le document, rédigé par les États-Unis, révèle un changement historique et décisif dans la position de l’ONU, en plaçant le plan d’autonomie marocain comme l’unique base des négociations. Ce texte ouvre également la voie à l’organisation de pourparlers directs sous l’égide de Washington, marquant ainsi une évolution substantielle dans la dynamique du dossier.
Selon la résolution le Conseil de sécurité prolonge le mandat de la MINURSO jusqu’au 31 octobre 2026. Mais surtout, il dépasse les formulations prudentes des textes précédents pour affirmer clairement que les négociations doivent s’engager « en prenant pour fondement la proposition marocaine d’autonomie ».
Cette adoption constitue une victoire diplomatique majeure pour le Maroc, marquant un tournant décisif dans le traitement de la question du Sahara au sein des instances internationales. En Le texte fait passer le dossier d’une phase d’ambiguïté prolongée à une étape de clarification et de définition d’un cadre réaliste pour la solution, fondé sur l’initiative marocaine d’autonomie et soutenu directement par la principale puissance du Conseil de sécurité, les États-Unis.
Le document, rédigé par les États-Unis, révèle un changement historique et décisif dans la position de l’ONU, en plaçant le plan d’autonomie marocain comme l’unique base des négociations. Ce texte ouvre également la voie à l’organisation de pourparlers directs sous l’égide de Washington, marquant ainsi une évolution substantielle dans la dynamique du dossier.
Selon la résolution le Conseil de sécurité prolonge le mandat de la MINURSO jusqu’au 31 octobre 2026. Mais surtout, il dépasse les formulations prudentes des textes précédents pour affirmer clairement que les négociations doivent s’engager « en prenant pour fondement la proposition marocaine d’autonomie ».





















