Lors de la séance des questions orales à la Chambre des représentants, lundi, Benali a précisé que, le son département a décidé cette année, dans le cadre d’un accord de partenariat avec le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, de proposer des bourses universitaires à 50 doctorants travaillant dans le domaine de la logistique. Benali a également souligné que « la participation du Royaume à la prochaine conférence des parties s’inscrit dans le cadre des directives royales de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et repose sur le leadership que le Maroc a consolidé en matière de diplomatie climatique multilatérale ». L’objectif est de poursuivre les efforts pour transformer les ambitions climatiques en réalisations concrètes.
Par ailleurs, elle a insisté sur l’importance que la communauté accélère la mise en œuvre des engagements de l’Accord de Paris et à se concentrer sur des actions concrètes plutôt que de se limiter aux dialogues et consultations. Elle a rappelé que « le Maroc participe à la 30ᵉ session de la COP afin de mettre en avant son modèle de développement efficace et intégré, grâce auquel il est possible d’attirer des financements supplémentaires pour nos provinces et collectivités territoriales ».
La ministre a rappelé que depuis l’Accord de Paris, environ 500 millions de dollars ont été mobilisés dans le cadre du financement climatique, permettant au Maroc de réaliser des projets sur le terrain dans les domaines des énergies renouvelables, du transport durable, ainsi que pour l’adaptation des zones vulnérables telles que les oasis, les côtes et les systèmes forestiers. La région de Fès-Meknès a bénéficié d’environ 33 millions de dollars, la région de Drâa-Tafilalet d’environ 30 millions de dollars, et la région de Marrakech-Safi d’environ 13 millions de dollars.
Cette année, la participation marocaine se distingue également par la présentation des résultats de la troisième version de la Contribution Déterminée au niveau National (CDN 3.0). Selon Benali, « une méthodologie innovante et participative a été adoptée, reposant non seulement sur la dimension environnementale, mais aussi sur l’évaluation des impacts positifs des mesures climatiques sur les plans économique et social ». Un indicateur du coût moyen de l’atténuation a été utilisé pour chaque secteur, en tenant compte de l’ampleur des investissements requis.
La ministre a aussi rappelé les innovations marocaines en matière de financement climatique. Pour la première fois, le Royaume a réussi à articuler financements climatiques et projets de développement à l’échelle territoriale, notamment un projet de coopération avec la Suisse, qui devrait permettre de mobiliser un soutien financier d’environ 6 milliards de dirhams et de créer près de 6.000 emplois.
Par ailleurs, elle a insisté sur l’importance que la communauté accélère la mise en œuvre des engagements de l’Accord de Paris et à se concentrer sur des actions concrètes plutôt que de se limiter aux dialogues et consultations. Elle a rappelé que « le Maroc participe à la 30ᵉ session de la COP afin de mettre en avant son modèle de développement efficace et intégré, grâce auquel il est possible d’attirer des financements supplémentaires pour nos provinces et collectivités territoriales ».
La ministre a rappelé que depuis l’Accord de Paris, environ 500 millions de dollars ont été mobilisés dans le cadre du financement climatique, permettant au Maroc de réaliser des projets sur le terrain dans les domaines des énergies renouvelables, du transport durable, ainsi que pour l’adaptation des zones vulnérables telles que les oasis, les côtes et les systèmes forestiers. La région de Fès-Meknès a bénéficié d’environ 33 millions de dollars, la région de Drâa-Tafilalet d’environ 30 millions de dollars, et la région de Marrakech-Safi d’environ 13 millions de dollars.
Cette année, la participation marocaine se distingue également par la présentation des résultats de la troisième version de la Contribution Déterminée au niveau National (CDN 3.0). Selon Benali, « une méthodologie innovante et participative a été adoptée, reposant non seulement sur la dimension environnementale, mais aussi sur l’évaluation des impacts positifs des mesures climatiques sur les plans économique et social ». Un indicateur du coût moyen de l’atténuation a été utilisé pour chaque secteur, en tenant compte de l’ampleur des investissements requis.
La ministre a aussi rappelé les innovations marocaines en matière de financement climatique. Pour la première fois, le Royaume a réussi à articuler financements climatiques et projets de développement à l’échelle territoriale, notamment un projet de coopération avec la Suisse, qui devrait permettre de mobiliser un soutien financier d’environ 6 milliards de dirhams et de créer près de 6.000 emplois.
