L’Union marocaine du travail (UMT), la Confédération démocratique du travail (CDT), l’Organisation démocratique du travail (ODT) et la Fédération des syndicats démocratiques (FSD) ont conjointement appelé à une grève nationale de 24 heures mercredi prochain.
La CDT a dénoncé dans un communiqué, publié dimanche 2 février, la volonté du gouvernement de faire passer le projet de loi de grève qui vise, selon le syndicat, à restreindre le droit historique et constitutionnel à la grève ». La centrale syndicale se dit s’insurger contre la persistance du gouvernement à faire adopter le texte.
L’UMT a , pour sa part, critiqué « l’incapacité de l’Exécutif à prendre des mesures pour contrer l’hémorragie du pouvoir d’achat et la hausse des prix. »
De son côté, l’ODT critique le manque « d’inclusion de l’ensemble des organisations syndicales, professionnelles, politiques et des droits de l’Homme dans le débat sur le droit de grève.
Le projet de loi sur le droit de grève est soumis, cet après-midi, au vote à la Chambre des Conseillers.
La CDT a dénoncé dans un communiqué, publié dimanche 2 février, la volonté du gouvernement de faire passer le projet de loi de grève qui vise, selon le syndicat, à restreindre le droit historique et constitutionnel à la grève ». La centrale syndicale se dit s’insurger contre la persistance du gouvernement à faire adopter le texte.
L’UMT a , pour sa part, critiqué « l’incapacité de l’Exécutif à prendre des mesures pour contrer l’hémorragie du pouvoir d’achat et la hausse des prix. »
De son côté, l’ODT critique le manque « d’inclusion de l’ensemble des organisations syndicales, professionnelles, politiques et des droits de l’Homme dans le débat sur le droit de grève.
Le projet de loi sur le droit de grève est soumis, cet après-midi, au vote à la Chambre des Conseillers.