
Il y a à peine un mois, Jacob Zuma, ancien Président d’Afrique du Sud et actuel leader de Umkhonto we Sizwe, principale force d’opposition à l’ANC de Cyril Ramaphosa, effectuait une visite officielle au Maroc, durant laquelle il a affirmé sans détour son soutien à la marocanité du Sahara. Pragmatique, l’ancien chef d’État sud-africain voit dans les tensions politiques que traverse son pays une occasion de rompre avec un schéma diplomatique figé, hérité de la guerre froide. Une initiative accueillie à bras ouverts par Rabat et les observateurs y ont perçu une ouverture en faveur d’un rapprochement entre Rabat et Pretoria.
Or, lundi dernier, son rival et actuel président, Cyril Ramaphosa, n’a pas tardé à réaffirmer publiquement son appui au Polisario. Une prise de position attendue, davantage politicienne que stratégique, mais au plus mauvais moment, alors que le plan marocain d’autonomie ne cesse de gagner en reconnaissance et en soutien sur la scène internationale.
Le calendrier est d’autant plus mal choisi que l’attention se porte aujourd’hui sur les dérives terroristes du Polisario, mises en lumière par un rapport accablant de DAWN, qui révèle entre autres l’acheminement de combattants polisariens vers la Syrie en 2012, après des entraînements prodigués par le Hezbollah sous supervision iranienne. Le même document met par ailleurs en évidence les complicités entre le régime algérien et celui de Bachar Al-Assad, auquel le Maroc s’est toujours opposé face aux crimes contre l’humanité commis en Syrie.
Surtout que la position du Royaume bénéficie aujourd’hui d’un large consensus international, partagé par les grandes puissances et membres permanents du Conseil de Sécurité, qu’il s’agisse des États-Unis, de la France ou du Royaume-Uni, partenaire commercial majeur et influent de l’Afrique du Sud. En s’entêtant à soutenir le Polisario, Pretoria s’isole aux côtés d’Alger, au risque de se marginaliser davantage. Car, in fine, à mesure que le front des soutiens s’élargit et que la dynamique diplomatique s’intensifie, la marocanité du Sahara est une réalité dont l’évidence ne peut échapper qu’aux seuls aveugles et novices de la géopolitique de l’acabit de Ramaphosa.
Et lorsqu’un parti nationaliste comme l’Istiqlal, doyen des formations politiques marocaines et donc rompu aux enjeux et subtilités de la géopolitique, appelle à faire de 2025 l’année du denouement final en faveur du projet d’autonomie de nos provinces du Sud, c’est que, dans les coulisses, la fin de la partie se dessine déjà. À ceux qui s’y opposent encore, il ne reste qu’à s’aligner… tant qu’il est encore temps.
Or, lundi dernier, son rival et actuel président, Cyril Ramaphosa, n’a pas tardé à réaffirmer publiquement son appui au Polisario. Une prise de position attendue, davantage politicienne que stratégique, mais au plus mauvais moment, alors que le plan marocain d’autonomie ne cesse de gagner en reconnaissance et en soutien sur la scène internationale.
Le calendrier est d’autant plus mal choisi que l’attention se porte aujourd’hui sur les dérives terroristes du Polisario, mises en lumière par un rapport accablant de DAWN, qui révèle entre autres l’acheminement de combattants polisariens vers la Syrie en 2012, après des entraînements prodigués par le Hezbollah sous supervision iranienne. Le même document met par ailleurs en évidence les complicités entre le régime algérien et celui de Bachar Al-Assad, auquel le Maroc s’est toujours opposé face aux crimes contre l’humanité commis en Syrie.
Surtout que la position du Royaume bénéficie aujourd’hui d’un large consensus international, partagé par les grandes puissances et membres permanents du Conseil de Sécurité, qu’il s’agisse des États-Unis, de la France ou du Royaume-Uni, partenaire commercial majeur et influent de l’Afrique du Sud. En s’entêtant à soutenir le Polisario, Pretoria s’isole aux côtés d’Alger, au risque de se marginaliser davantage. Car, in fine, à mesure que le front des soutiens s’élargit et que la dynamique diplomatique s’intensifie, la marocanité du Sahara est une réalité dont l’évidence ne peut échapper qu’aux seuls aveugles et novices de la géopolitique de l’acabit de Ramaphosa.
Et lorsqu’un parti nationaliste comme l’Istiqlal, doyen des formations politiques marocaines et donc rompu aux enjeux et subtilités de la géopolitique, appelle à faire de 2025 l’année du denouement final en faveur du projet d’autonomie de nos provinces du Sud, c’est que, dans les coulisses, la fin de la partie se dessine déjà. À ceux qui s’y opposent encore, il ne reste qu’à s’aligner… tant qu’il est encore temps.