La digitalisation est l’un des projets de transformation pour la promotion du développement durable. Il s’agit d’un passage du format papier au format numérique, via un système d’archivage électronique. La chercheuse a affirmé, dans ce sens, que le rapport NMD évoque une digitalisation de l’ensemble des procédures administratives dans tous les domaines, y compris les programmes gouvernementaux et éducatifs, culturels et d’information.
Une digitalisation qui passe par la simplification et la numérisation des procédures administratives entre le citoyen ou l’entreprise et l’État, la procuration de services de haute qualité, dans les meilleurs délais et au moindre coût possible, la transparence et la facilitation d’accès à l’information ou aux services sur tout le territoire national, at- elle précisé.
Faiza Alaoui a rappelé que les bases de la stratégie établie par le modèle de développement pour favoriser la transformation numérique ont été mises en place depuis des années. L’administration marocaine a connu la digitalisation en interne depuis «le premier plan quinquennal» dans le domaine de la numérisation de 1999 à 2003, et la stratégie e-Maroc 2010, lesquelles ont été suivies par plusieurs stratégies jusqu’à la création en 2019 de l’Agence de développement du digital (ADD), a-t-elle relevé.
Poursuivant son intervention, la chercheuse a rappelé que les fondements des stratégies actuelles se résument en cinq points à savoir : La création d’une «délégation commune» qui fait appel à l’ADD dans le cadre de la mise en oeuvre de ses décisions, la digitalisation des prestations et des démarches administratives, la réhabilitation des infrastructures numériques au niveau de tout le territoire national, la qualification du capital humain et la mise en place d’un cadre juridique pour consacrer la valeur juridique des documents numériques.
« L’économie, la société et les individus ont été durement touchés par la pandémie, et tous les pays, y compris le Maroc, ont eu recours aux technologies numériques pour s’adapter à des données nouvelles et inédites », a-t-elle relevé, soulignant que « nous devons saisir l’opportunité de développer l’économie numérique nationale».
Une digitalisation qui passe par la simplification et la numérisation des procédures administratives entre le citoyen ou l’entreprise et l’État, la procuration de services de haute qualité, dans les meilleurs délais et au moindre coût possible, la transparence et la facilitation d’accès à l’information ou aux services sur tout le territoire national, at- elle précisé.
Faiza Alaoui a rappelé que les bases de la stratégie établie par le modèle de développement pour favoriser la transformation numérique ont été mises en place depuis des années. L’administration marocaine a connu la digitalisation en interne depuis «le premier plan quinquennal» dans le domaine de la numérisation de 1999 à 2003, et la stratégie e-Maroc 2010, lesquelles ont été suivies par plusieurs stratégies jusqu’à la création en 2019 de l’Agence de développement du digital (ADD), a-t-elle relevé.
Poursuivant son intervention, la chercheuse a rappelé que les fondements des stratégies actuelles se résument en cinq points à savoir : La création d’une «délégation commune» qui fait appel à l’ADD dans le cadre de la mise en oeuvre de ses décisions, la digitalisation des prestations et des démarches administratives, la réhabilitation des infrastructures numériques au niveau de tout le territoire national, la qualification du capital humain et la mise en place d’un cadre juridique pour consacrer la valeur juridique des documents numériques.
« L’économie, la société et les individus ont été durement touchés par la pandémie, et tous les pays, y compris le Maroc, ont eu recours aux technologies numériques pour s’adapter à des données nouvelles et inédites », a-t-elle relevé, soulignant que « nous devons saisir l’opportunité de développer l’économie numérique nationale».
Kawtar CHAAT