Ces investissements sont majoritairement liés à des questions relatives à la gestion de l’offre et de la demande en eau, a-t-il précisé, dans une déclaration à la MAP, en marge des master classes de l’eau placées sous le thème "Modèles et mécanismes de financement innovants".
M. Sallé de Chou a, dans ce sens, rappelé que la région de Guelmim-Oued Noun a été la première région du Maroc à bénéficier d’un financement de la BERD, expliquant que ce financement porte sur l’épuration et la réutilisation des eaux usées.
En effet, la BERD a accordé, en décembre 2023, un prêt de 130 millions de DH (12 millions d’euros) à la région de Guelmim-Oued Noun, en vue de contribuer à l’amélioration de l'approvisionnement en eau potable dans des zones rurales et la modernisation de quatre stations d'épuration existantes.
Par ailleurs, la directrice infrastructures durables à la BERD, Sue Barret, a salué le "grand" programme élaboré par le Maroc en matière de dessalement de l'eau de mer, jetant la lumière sur les divers autres programmes et stratégies axés sur le traitement des eaux usées pour l'irrigation des espaces verts.
Mme Barret a également mis en avant les efforts déployés par l’ensemble des parties prenantes marocaines en matière d'infrastructures hydrauliques et d’investissement dans des programmes de préservation de l’eau, ajoutant que la BERD travaille en étroite collaboration avec les différents acteurs marocains, en vue de changer les comportements des citoyens et pousser les entreprises industrielles à adopter des solutions d'irrigation efficaces permettant de réduire la consommation d'eau.
Les Master classes de l’eau, initiées par le Cabinet consensus public relations (CPR), comprennent une série de conférences axées, notamment sur "La place de l’eau dans l’agenda 2030 des objectifs de développement durable (ODD)", "Les leviers de transformation nécessaires à l’efficacité hydrique", "L’eau au cœur de l’investissement socialement responsable”, ainsi que “Les opportunités et les défis de la formation financière adaptée au secteur de l’eau".
M. Sallé de Chou a, dans ce sens, rappelé que la région de Guelmim-Oued Noun a été la première région du Maroc à bénéficier d’un financement de la BERD, expliquant que ce financement porte sur l’épuration et la réutilisation des eaux usées.
En effet, la BERD a accordé, en décembre 2023, un prêt de 130 millions de DH (12 millions d’euros) à la région de Guelmim-Oued Noun, en vue de contribuer à l’amélioration de l'approvisionnement en eau potable dans des zones rurales et la modernisation de quatre stations d'épuration existantes.
Par ailleurs, la directrice infrastructures durables à la BERD, Sue Barret, a salué le "grand" programme élaboré par le Maroc en matière de dessalement de l'eau de mer, jetant la lumière sur les divers autres programmes et stratégies axés sur le traitement des eaux usées pour l'irrigation des espaces verts.
Mme Barret a également mis en avant les efforts déployés par l’ensemble des parties prenantes marocaines en matière d'infrastructures hydrauliques et d’investissement dans des programmes de préservation de l’eau, ajoutant que la BERD travaille en étroite collaboration avec les différents acteurs marocains, en vue de changer les comportements des citoyens et pousser les entreprises industrielles à adopter des solutions d'irrigation efficaces permettant de réduire la consommation d'eau.
Les Master classes de l’eau, initiées par le Cabinet consensus public relations (CPR), comprennent une série de conférences axées, notamment sur "La place de l’eau dans l’agenda 2030 des objectifs de développement durable (ODD)", "Les leviers de transformation nécessaires à l’efficacité hydrique", "L’eau au cœur de l’investissement socialement responsable”, ainsi que “Les opportunités et les défis de la formation financière adaptée au secteur de l’eau".