Le Secrétaire d’État américain Marco Rubio et le chef de cabinet de la présidence ukrainienne Andriy Yermak lors d’une conférence de presse à Genève, le 23 novembre 2025.
Les deux délégation ont réaffirmé que tout accord futur doit respecter pleinement la souveraineté de l’Ukraine et aboutir à une paix durable et juste, indique le communiqué publié à l’issue des pourparlers, au cours desquels les délégations ont examiné la dernière proposition de paix de Washington visant à mettre fin à la guerre entre la Russie et l’Ukraine.
Le texte qualifie les discussions de «constructives, ciblées et respectueuses», soulignant ce que les deux parties ont décrit comme un engagement commun en faveur d’un règlement durable. Les délégations ont convenu que les consultations avaient été «hautement productives» et ont affirmé que le cadre actualisé reflétait les progrès réalisés au cours des dernières semaines.
Les États-Unis et l’Ukraine ont fait état dimanche de progrès importants, après ce que les deux parties ont décrit comme les discussions les plus productives à ce jour dans le cadre des négociations en cours pour un accord de paix.
Les échanges ont impliqué une délégation américaine menée par le secrétaire d’État Marco Rubio et l’émissaire du président Donald Trump, Steve Witkoff. Le secrétaire de l’Armée de terre américaine, Daniel Driscoll, faisait également partie de la délégation présente à Genève.
La délégation ukrainienne était dirigée par le chef de cabinet du président, Andriy Yermak.
Par ailleurs, les conseillers à la sécurité nationale des pays de l’E3, le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne, ont également rencontré la délégation ukrainienne à Genève.
Le texte qualifie les discussions de «constructives, ciblées et respectueuses», soulignant ce que les deux parties ont décrit comme un engagement commun en faveur d’un règlement durable. Les délégations ont convenu que les consultations avaient été «hautement productives» et ont affirmé que le cadre actualisé reflétait les progrès réalisés au cours des dernières semaines.
Les États-Unis et l’Ukraine ont fait état dimanche de progrès importants, après ce que les deux parties ont décrit comme les discussions les plus productives à ce jour dans le cadre des négociations en cours pour un accord de paix.
Les échanges ont impliqué une délégation américaine menée par le secrétaire d’État Marco Rubio et l’émissaire du président Donald Trump, Steve Witkoff. Le secrétaire de l’Armée de terre américaine, Daniel Driscoll, faisait également partie de la délégation présente à Genève.
La délégation ukrainienne était dirigée par le chef de cabinet du président, Andriy Yermak.
Par ailleurs, les conseillers à la sécurité nationale des pays de l’E3, le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne, ont également rencontré la délégation ukrainienne à Genève.
Gratitude de Kiev envers Trump pour son engagement
Dans le communiqué, l’Ukraine a réaffirmé sa «gratitude pour l’engagement indéfectible des États-Unis et, personnel, du président Donald Trump» en faveur d’efforts visant à mettre fin à la guerre et à empêcher de nouvelles pertes humaines.
Les deux gouvernements ont indiqué qu’ils poursuivraient, «dans les prochains jours», un travail intensif sur des propositions conjointes et qu’ils resteraient en étroite coordination avec leurs partenaires européens à mesure que les négociations avanceront. Le communiqué précise que les décisions finales seront prises par les présidents des États-Unis et de l’Ukraine.
Ce communiqué intervient après que de hauts responsables américains et ukrainiens ont tenu des pourparlers à Genève sur une proposition en 28 points destinée à faire avancer les efforts de paix en Ukraine.
Selon certaines informations, la proposition en 28 points exigerait de l’Ukraine qu’elle cède à la Russie des territoires supplémentaires, qu’elle limite la taille de son armée et qu’elle renonce officiellement à sa candidature à l’OTAN. Donald Trump aurait donné jusqu’à jeudi à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky pour répondre.
Zelensky a déclaré être confronté à un choix difficile, à savoir «perdre notre dignité ou risquer de perdre un partenaire clé».
Samedi, les dirigeants de neuf pays européens, ainsi que le Japon, le Canada et de hauts responsables de l’Union Européenne, ont exprimé leur inquiétude face aux limitations proposées des forces armées ukrainiennes, avertissant qu’elles «laisseraient l’Ukraine vulnérable à de futures attaques».




















