Microsoft met donc à disposition des cyber-défenseurs cette avancée ingénieuse en dévoilant cet outil qui servira pour détecter et répondre rapidement aux menaces, et assurer la sécurité des utilisateurs, de ses programmes et de ses services.
La compagnie a réitéré à maintes reprises son engagement à vouloir s’attaquer à la cybercriminalité. Ainsi, le géant de Redmond passe enfin à cette étape dans ce projet, en annonçant le programme conçu pour la cyberdéfense et nommé Security Copilot.
C’est donc un outil innovant qui joint l’importante empreinte de Microsoft en matière de signaux sur les menaces, avec une expertise de pointe pour améliorer le travail des professionnels de la sécurité à travers un assistant IA facile à utiliser.
A cette occasion, la vice-présidente de Microsoft Security, Vasu Jakkal, a déclaré qu’“aujourd’hui, les professionnels de la cybersécurité sont confrontés à des difficultés considérables. Trop souvent, ils mènent une bataille inégale contre des attaquants implacables et sophistiqués“.
Et d’ajouter qu’ “avec Security Copilot, nous faisons pencher la balance en notre faveur. Security Copilot est le premier et le seul produit de sécurité à base d’IA générative permettant aux défenseurs de progresser à la vitesse et à l’échelle de l’IA”.
Ainsi, l’outil est créé pour fonctionner de manière transparente avec les équipes de sécurité, permettant aux défenseurs de voir tout ce qui se passe dans leur environnement, d’apprendre à partir des informations existantes, de faire le lien entre les menaces et de prendre des décisions plus promptes et efficaces, à la vitesse de la machine. Il rendra aussi des emplois dans le domaine de la cybersécurité plus accessibles à un grand nombre de personnes.
Il va aussi simplifier les capacités des équipes de sécurité en donnant un sens aux renseignements sur les menaces, en aidant les défenseurs à voir à travers le bruit du web et à identifier les activités malveillantes.
Il aidera également les équipes de sécurité à détecter un ensemble d’informations non accessibles à tout le monde en résumant les données sur les attaques, en hiérarchisant les incidents et en recommandant le meilleur plan d’action pour remédier rapidement à diverses menaces.
Malgré toutes ces avancées et initiatives dans le domaine de l’IA, qui offre de nombreuses promesses à l'humanité, et les nouveautés qui tendent à révolutionner le monde et rendre les taches plus faciles, un appel a été lancé dernièrement par plus de 1000 scientifiques pour une pause dans la formation des systèmes d’IA les plus puissants, comme Chat GPT.
D’ailleurs, l’UNESCO s’est vu dans l’obligation d’intervenir en appelant à une mise en œuvre immédiate de sa recommandation sur l’éthique de l’intelligence artificielle, pour ainsi réduire les risques que cette technologie comporte.
La directrice générale de l’UNESCO a souligné, dans ce sens, qu’il est urgent que tous transposent ce cadre sous la forme de stratégies et de réglementations nationales. Plus de quarante pays de toutes les régions du monde travaillent déjà à développer ces garde-fous en s’appuyant sur la recommandation de l’organisation.
La compagnie a réitéré à maintes reprises son engagement à vouloir s’attaquer à la cybercriminalité. Ainsi, le géant de Redmond passe enfin à cette étape dans ce projet, en annonçant le programme conçu pour la cyberdéfense et nommé Security Copilot.
C’est donc un outil innovant qui joint l’importante empreinte de Microsoft en matière de signaux sur les menaces, avec une expertise de pointe pour améliorer le travail des professionnels de la sécurité à travers un assistant IA facile à utiliser.
A cette occasion, la vice-présidente de Microsoft Security, Vasu Jakkal, a déclaré qu’“aujourd’hui, les professionnels de la cybersécurité sont confrontés à des difficultés considérables. Trop souvent, ils mènent une bataille inégale contre des attaquants implacables et sophistiqués“.
Et d’ajouter qu’ “avec Security Copilot, nous faisons pencher la balance en notre faveur. Security Copilot est le premier et le seul produit de sécurité à base d’IA générative permettant aux défenseurs de progresser à la vitesse et à l’échelle de l’IA”.
Ainsi, l’outil est créé pour fonctionner de manière transparente avec les équipes de sécurité, permettant aux défenseurs de voir tout ce qui se passe dans leur environnement, d’apprendre à partir des informations existantes, de faire le lien entre les menaces et de prendre des décisions plus promptes et efficaces, à la vitesse de la machine. Il rendra aussi des emplois dans le domaine de la cybersécurité plus accessibles à un grand nombre de personnes.
Il va aussi simplifier les capacités des équipes de sécurité en donnant un sens aux renseignements sur les menaces, en aidant les défenseurs à voir à travers le bruit du web et à identifier les activités malveillantes.
Il aidera également les équipes de sécurité à détecter un ensemble d’informations non accessibles à tout le monde en résumant les données sur les attaques, en hiérarchisant les incidents et en recommandant le meilleur plan d’action pour remédier rapidement à diverses menaces.
Malgré toutes ces avancées et initiatives dans le domaine de l’IA, qui offre de nombreuses promesses à l'humanité, et les nouveautés qui tendent à révolutionner le monde et rendre les taches plus faciles, un appel a été lancé dernièrement par plus de 1000 scientifiques pour une pause dans la formation des systèmes d’IA les plus puissants, comme Chat GPT.
D’ailleurs, l’UNESCO s’est vu dans l’obligation d’intervenir en appelant à une mise en œuvre immédiate de sa recommandation sur l’éthique de l’intelligence artificielle, pour ainsi réduire les risques que cette technologie comporte.
La directrice générale de l’UNESCO a souligné, dans ce sens, qu’il est urgent que tous transposent ce cadre sous la forme de stratégies et de réglementations nationales. Plus de quarante pays de toutes les régions du monde travaillent déjà à développer ces garde-fous en s’appuyant sur la recommandation de l’organisation.
