Dans une interview accordée à Sky News Arabia, le haut responsable américain a souligné que les États-Unis travaillent « en étroite coordination avec le Maroc, l’Algérie et les partenaires internationaux » pour parvenir à une résolution qui soit la plus consensuelle dans le cadre de l'autonomie.
Massad Boulos a rappelé que le 30 octobre marquera un moment clé, avec l’examen par le Conseil de sécurité de l’ONU du renouvellement du mandat de la MINURSO. Selon lui, cette échéance représente « une étape importante » pour faire converger les positions. Concernant le renouvellement du mandat des casques bleus prévu initialement à 3 mois, le diplomate a rappelé que cette durée reste amendable.
« Nous travaillons avec tous les membres du Conseil afin d’adopter un langage qui rapproche les points de vue, en vue de passer à la phase suivante : celle d’un règlement global entre le Maroc et l’Algérie », a-t-il expliqué.
Le conseiller américain a tenu à rappeler la constance de la position de Washington depuis la reconnaissance, en décembre 2020, par l’administration Donald Trump de la souveraineté du Maroc sur son Sahara. « Cette reconnaissance est claire et irréversible », a-t-il affirmé, ajoutant que la proposition marocaine d’autonomie demeure, aux yeux des États-Unis, « la base la plus sérieuse, réaliste et crédible » pour une solution politique durable.
Massad Boulos a également souligné le lien entre la résolution du dossier du Sahara et le rétablissement des relations entre Rabat et Alger, rompues depuis 2021. « Une fois le différend sur le Sahara résolu, la réconciliation entre les deux pays frères sera beaucoup plus facile », a-t-il estimé.
Affichant un ton résolument optimiste, le responsable américain a conclu : « Nous savons que SM le roi Mohammed VI a une vision claire et constructive, et que la partie algérienne se montre désormais ouverte à un dialogue apaisé. C’est ce qui nourrit notre optimisme quant à un règlement définitif et rapide de cette question. »
Massad Boulos a rappelé que le 30 octobre marquera un moment clé, avec l’examen par le Conseil de sécurité de l’ONU du renouvellement du mandat de la MINURSO. Selon lui, cette échéance représente « une étape importante » pour faire converger les positions. Concernant le renouvellement du mandat des casques bleus prévu initialement à 3 mois, le diplomate a rappelé que cette durée reste amendable.
« Nous travaillons avec tous les membres du Conseil afin d’adopter un langage qui rapproche les points de vue, en vue de passer à la phase suivante : celle d’un règlement global entre le Maroc et l’Algérie », a-t-il expliqué.
Le conseiller américain a tenu à rappeler la constance de la position de Washington depuis la reconnaissance, en décembre 2020, par l’administration Donald Trump de la souveraineté du Maroc sur son Sahara. « Cette reconnaissance est claire et irréversible », a-t-il affirmé, ajoutant que la proposition marocaine d’autonomie demeure, aux yeux des États-Unis, « la base la plus sérieuse, réaliste et crédible » pour une solution politique durable.
Massad Boulos a également souligné le lien entre la résolution du dossier du Sahara et le rétablissement des relations entre Rabat et Alger, rompues depuis 2021. « Une fois le différend sur le Sahara résolu, la réconciliation entre les deux pays frères sera beaucoup plus facile », a-t-il estimé.
Affichant un ton résolument optimiste, le responsable américain a conclu : « Nous savons que SM le roi Mohammed VI a une vision claire et constructive, et que la partie algérienne se montre désormais ouverte à un dialogue apaisé. C’est ce qui nourrit notre optimisme quant à un règlement définitif et rapide de cette question. »





















