Organisées conformément aux Hautes Instructions Royales énoncées par Sa Majesté le Roi Mohammed VI dans son discours du 26e anniversaire de l’accession au Trône, ces consultations visent à garantir la tenue du scrutin dans les délais constitutionnels. Le Souverain y avait en effet souligné l’importance d’élaborer, avant la fin de l’année, un Code électoral actualisé, devant être adopté et largement diffusé.
Chargé par le Roi de superviser ce chantier stratégique, le ministre de l’Intérieur a entamé ce cycle de dialogue avec les différentes formations politiques afin d’assurer une préparation rigoureuse du prochain scrutin.
Selon le communiqué du ministère, les partis, toutes tendances confondues, ont unanimement salué cette initiative royale, y voyant un signal fort en faveur du dialogue politique et du renforcement de la démocratie au Maroc. Les discussions se sont déroulées dans un esprit de responsabilité, marqué par une volonté commune d’organiser des élections exemplaires, transparentes et crédibles.
Les réunions ont permis d’aborder les grandes lignes du futur cadre électoral. Elles ont également mis en lumière la volonté partagée de faire des élections de 2026 un moment fort, témoignant de la maturité du processus démocratique marocain sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi, garant des institutions.
Il a été convenu, à l’issue de ces échanges, que chaque parti soumettra ses propositions relatives au cadre législatif des élections avant la fin août. Ces contributions alimenteront l’élaboration d’un projet de loi qui sera examiné lors de la session parlementaire d’automne, en vue d'une adoption avant fin 2025.
Ce processus marque une étape majeure dans la consolidation du modèle électoral marocain, reconnu pour son caractère singulier dans la région. Il témoigne d’un engagement clair en faveur des principes démocratiques et de la valorisation du dialogue entre les institutions et les forces politiques du pays.
Chargé par le Roi de superviser ce chantier stratégique, le ministre de l’Intérieur a entamé ce cycle de dialogue avec les différentes formations politiques afin d’assurer une préparation rigoureuse du prochain scrutin.
Selon le communiqué du ministère, les partis, toutes tendances confondues, ont unanimement salué cette initiative royale, y voyant un signal fort en faveur du dialogue politique et du renforcement de la démocratie au Maroc. Les discussions se sont déroulées dans un esprit de responsabilité, marqué par une volonté commune d’organiser des élections exemplaires, transparentes et crédibles.
Les réunions ont permis d’aborder les grandes lignes du futur cadre électoral. Elles ont également mis en lumière la volonté partagée de faire des élections de 2026 un moment fort, témoignant de la maturité du processus démocratique marocain sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi, garant des institutions.
Il a été convenu, à l’issue de ces échanges, que chaque parti soumettra ses propositions relatives au cadre législatif des élections avant la fin août. Ces contributions alimenteront l’élaboration d’un projet de loi qui sera examiné lors de la session parlementaire d’automne, en vue d'une adoption avant fin 2025.
Ce processus marque une étape majeure dans la consolidation du modèle électoral marocain, reconnu pour son caractère singulier dans la région. Il témoigne d’un engagement clair en faveur des principes démocratiques et de la valorisation du dialogue entre les institutions et les forces politiques du pays.
Repères
Réformes électorales : entre redécoupage et garanties de transparence
Le code électoral est mis à jour à chaque échéance nationale. Fidèle à la tradition marocaine en matière de grandes décisions, le processus s’appuie sur la consultation des acteurs politiques, dans le but d’atteindre un consensus ou, à défaut, un accord largement partagé. Les propositions des partis s’articuleront autour de plusieurs volets clés : la fixation de la date des élections dans le respect des délais constitutionnels ; les révisions régulières et exceptionnelles des listes électorales ; l’encadrement de la campagne électorale, sa durée, les règles d’équité dans les médias publics, ainsi que les interdictions prévues. Le financement de la campagne constitue également un axe majeur, incluant plafonds, contrôle et sanctions. Le contentieux électoral et ses mécanismes font également partie des points abordés. Parmi les points saillants des discussions, figure le découpage électoral, le nombre de sièges par circonscription et éventuellement le nombre total de sièges à la Chambre, et ce, à la lumière du recensement 2024. L’organisation des élections doit garantir la neutralité de l’administration, l’égalité entre les candidats et la transparence du processus. La supervision relève du ministère de l’Intérieur, tandis que le contrôle juridictionnel est assuré par les tribunaux administratifs.
Le code électoral est mis à jour à chaque échéance nationale. Fidèle à la tradition marocaine en matière de grandes décisions, le processus s’appuie sur la consultation des acteurs politiques, dans le but d’atteindre un consensus ou, à défaut, un accord largement partagé. Les propositions des partis s’articuleront autour de plusieurs volets clés : la fixation de la date des élections dans le respect des délais constitutionnels ; les révisions régulières et exceptionnelles des listes électorales ; l’encadrement de la campagne électorale, sa durée, les règles d’équité dans les médias publics, ainsi que les interdictions prévues. Le financement de la campagne constitue également un axe majeur, incluant plafonds, contrôle et sanctions. Le contentieux électoral et ses mécanismes font également partie des points abordés. Parmi les points saillants des discussions, figure le découpage électoral, le nombre de sièges par circonscription et éventuellement le nombre total de sièges à la Chambre, et ce, à la lumière du recensement 2024. L’organisation des élections doit garantir la neutralité de l’administration, l’égalité entre les candidats et la transparence du processus. La supervision relève du ministère de l’Intérieur, tandis que le contrôle juridictionnel est assuré par les tribunaux administratifs.
Une autre réunion pour passer en revue les défis de la gouvernance territoriale
Le vendredi 1er août à Tétouan, le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, a dirigé une réunion avec les walis, gouverneurs et cadres des services centraux du ministère, en présence de hauts responsables sécuritaires. Cette rencontre a été l’occasion d’examiner les principales Orientations issues du Discours du Trône, mettant l’accent sur un engagement renforcé dans la gestion publique et la réponse aux défis sociaux. Le ministre a souligné les progrès réalisés dans les provinces du Sud grâce au modèle de développement régional, tout en saluant les efforts déployés sur le plan sécuritaire, notamment dans la lutte contre le terrorisme et la criminalité. Il a également réaffirmé l’importance de garantir des élections transparentes, de poursuivre la mise en œuvre de la régionalisation avancée et de consolider les acquis de l’Initiative nationale pour le développement humain. Les responsables ont exprimé leur volonté de traduire les directives royales en actions concrètes pour un Maroc plus inclusif et résilient.
Le vendredi 1er août à Tétouan, le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, a dirigé une réunion avec les walis, gouverneurs et cadres des services centraux du ministère, en présence de hauts responsables sécuritaires. Cette rencontre a été l’occasion d’examiner les principales Orientations issues du Discours du Trône, mettant l’accent sur un engagement renforcé dans la gestion publique et la réponse aux défis sociaux. Le ministre a souligné les progrès réalisés dans les provinces du Sud grâce au modèle de développement régional, tout en saluant les efforts déployés sur le plan sécuritaire, notamment dans la lutte contre le terrorisme et la criminalité. Il a également réaffirmé l’importance de garantir des élections transparentes, de poursuivre la mise en œuvre de la régionalisation avancée et de consolider les acquis de l’Initiative nationale pour le développement humain. Les responsables ont exprimé leur volonté de traduire les directives royales en actions concrètes pour un Maroc plus inclusif et résilient.