"Ce chantier vise à consolider la régionalisation avancée, à mettre en valeur les spécificités locales et à promouvoir la solidarité entre les collectivités, afin que chaque citoyen bénéficie de manière équitable des retombées du développement." précise la circulaire.
Laftit a rappelé que ce processus s’inscrit dans la continuité des réformes initiées par Sa Majesté le Roi Mohammed VI depuis son accession au Trône, ayant permis de renforcer les infrastructures, de réduire les inégalités régionales et d’améliorer les conditions de vie. Toutefois, certaines zones demeurent en marge de cette dynamique, ce qui appelle à des approches renouvelées, plus ciblées et mieux adaptées aux réalités locales.
Le ministre a exhorté les responsables territoriaux à agir avec efficacité et rapidité, en collaboration étroite avec les acteurs locaux. Les futurs programmes devront établir des priorités claires et concrètes, en mettant l’accent sur la promotion de l’emploi, le renforcement des services sociaux de base – notamment dans l’éducation et la santé –, la gestion durable de l’eau et la réhabilitation intégrée des territoires, tout en s’inscrivant en cohérence avec les grands projets structurants du Royaume.
La circulaire souligne également l’importance d’une large concertation. Sont appelés à y participer élus, institutions publiques, entreprises, organismes décentralisés et universités, afin d’assurer une approche participative et inclusive. Cette méthode doit renforcer la sensibilisation collective aux défis du développement et garantir l’implication directe des responsables territoriaux.
Un ensemble de critères ont été fixés pour guider l’élaboration des programmes. Il s’agit de l’alignement avec les orientations royales et le nouveau modèle de développement, l’ancrage territorial au niveau régional et préfectoral, la répartition optimale des ressources et planification coordonnée. Par ailleurs, une attention particulière devra être portée aux zones rurales vulnérables, avec un diagnostic actualisé permettant d’identifier précisément les besoins et d’éviter chevauchements ou gaspillage des moyens.
Le ministre a insisté sur le fait qu’une préparation rigoureuse et une mise en œuvre coordonnée permettront non seulement d’améliorer la qualité de vie des citoyens, mais aussi de réduire les disparités, d’accroître l’attractivité des territoires, de renforcer leur compétitivité et de créer de nouvelles opportunités d’emploi.
En sus, Laftit a demandé aux gouverneurs et walis d’engager sans délai ce processus, dans le strict respect des directives énoncées. L’objectif ultime demeure d’accélérer la concrétisation des orientations royales en actions tangibles et efficaces, traduisant ainsi les principes en résultats mesurables sur le terrain, au bénéfice direct des citoyens et du développement global du pays.
Laftit a rappelé que ce processus s’inscrit dans la continuité des réformes initiées par Sa Majesté le Roi Mohammed VI depuis son accession au Trône, ayant permis de renforcer les infrastructures, de réduire les inégalités régionales et d’améliorer les conditions de vie. Toutefois, certaines zones demeurent en marge de cette dynamique, ce qui appelle à des approches renouvelées, plus ciblées et mieux adaptées aux réalités locales.
Le ministre a exhorté les responsables territoriaux à agir avec efficacité et rapidité, en collaboration étroite avec les acteurs locaux. Les futurs programmes devront établir des priorités claires et concrètes, en mettant l’accent sur la promotion de l’emploi, le renforcement des services sociaux de base – notamment dans l’éducation et la santé –, la gestion durable de l’eau et la réhabilitation intégrée des territoires, tout en s’inscrivant en cohérence avec les grands projets structurants du Royaume.
La circulaire souligne également l’importance d’une large concertation. Sont appelés à y participer élus, institutions publiques, entreprises, organismes décentralisés et universités, afin d’assurer une approche participative et inclusive. Cette méthode doit renforcer la sensibilisation collective aux défis du développement et garantir l’implication directe des responsables territoriaux.
Un ensemble de critères ont été fixés pour guider l’élaboration des programmes. Il s’agit de l’alignement avec les orientations royales et le nouveau modèle de développement, l’ancrage territorial au niveau régional et préfectoral, la répartition optimale des ressources et planification coordonnée. Par ailleurs, une attention particulière devra être portée aux zones rurales vulnérables, avec un diagnostic actualisé permettant d’identifier précisément les besoins et d’éviter chevauchements ou gaspillage des moyens.
Le ministre a insisté sur le fait qu’une préparation rigoureuse et une mise en œuvre coordonnée permettront non seulement d’améliorer la qualité de vie des citoyens, mais aussi de réduire les disparités, d’accroître l’attractivité des territoires, de renforcer leur compétitivité et de créer de nouvelles opportunités d’emploi.
En sus, Laftit a demandé aux gouverneurs et walis d’engager sans délai ce processus, dans le strict respect des directives énoncées. L’objectif ultime demeure d’accélérer la concrétisation des orientations royales en actions tangibles et efficaces, traduisant ainsi les principes en résultats mesurables sur le terrain, au bénéfice direct des citoyens et du développement global du pays.
