À 16h30, le CinéAtlas Corniche a ouvert ses portes à deux œuvres du cinéaste, comme deux fenêtres sur les marges du réel : Water Master, documentaire de 65 minutes sur les tensions hydriques au Maroc, et Madame PIPI, court métrage de 17 minutes qui donne voix à une femme de l’ombre, gardienne silencieuse des lieux publics. La projection, suivie d’un échange avec le réalisateur, a permis de lever le voile sur les coulisses d’une œuvre qui scrute les interstices de la société avec la précision d’un sismographe.
Vets 19h, la Librairie de Paris a changé de décor pour accueillir dans le cadre de l’événement «Koutoub», la parole écrite. Autour de son roman Le roi des robots, publié en 2025 aux éditions Marsam, Fouad Souiba a invité les lecteurs à franchir le miroir d’un monde gouverné par les algorithmes. Dans ce récit d’anticipation, la mémoire humaine devient un champ de bataille, et les personnages, Rahil Chemsy et Arif Rebbah, des funambules sur le fil du progrès. L’auteur a évoqué son écriture comme une plongée dans les abysses du présent, où la fiction sert de boussole face aux dérives technologiques.
Né en 1963 à Rabat, formé en communication au Maroc et au Québec, Fouad Souiba entame sa carrière en 1982 dans les médias, avant de se tourner vers le cinéma et la littérature. Il signe plusieurs courts et moyens métrages, dont Dream Boy et Sanaouat Arrassas, et publie en 2012 L’Incompris du Hay Mohammadi. Il travaille actuellement à un long métrage retraçant les secousses de l’histoire contemporaine du Maroc.
À El Jadida, cette journée a offert au public une traversée sensible de l’œuvre de Souiba, entre éclats de vérité et vertiges de l’imaginaire, portée par une voix qui capte les murmures du monde.
Vets 19h, la Librairie de Paris a changé de décor pour accueillir dans le cadre de l’événement «Koutoub», la parole écrite. Autour de son roman Le roi des robots, publié en 2025 aux éditions Marsam, Fouad Souiba a invité les lecteurs à franchir le miroir d’un monde gouverné par les algorithmes. Dans ce récit d’anticipation, la mémoire humaine devient un champ de bataille, et les personnages, Rahil Chemsy et Arif Rebbah, des funambules sur le fil du progrès. L’auteur a évoqué son écriture comme une plongée dans les abysses du présent, où la fiction sert de boussole face aux dérives technologiques.
Né en 1963 à Rabat, formé en communication au Maroc et au Québec, Fouad Souiba entame sa carrière en 1982 dans les médias, avant de se tourner vers le cinéma et la littérature. Il signe plusieurs courts et moyens métrages, dont Dream Boy et Sanaouat Arrassas, et publie en 2012 L’Incompris du Hay Mohammadi. Il travaille actuellement à un long métrage retraçant les secousses de l’histoire contemporaine du Maroc.
À El Jadida, cette journée a offert au public une traversée sensible de l’œuvre de Souiba, entre éclats de vérité et vertiges de l’imaginaire, portée par une voix qui capte les murmures du monde.
Mohamed LOKHNATI




















