Dans des déclarations aux médias en marge du sommet de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS), qui s’est achevé aujourd’hui dans la ville ouzbèke de Samarcande, Poutine a déclaré que la Russie avait effectué plusieurs «frappes préventives » dans certaines régions de l’Ukraine et que les futures raids seraient «plus dangereux». «Moscou n’a pas mobilisé toute son armée dans sa guerre contre l’Ukraine», a-t-il précisé.
Le président russe a également souligné que l’opération militaire de Moscou en Ukraine «se poursuit » et que ses objectifs n’ont pas changé. «Notre objectif principal est de libérer tout le territoire du Donbass», a-t-il ajouté.
Les déclarations de Poutine interviennent au moment où l’Ukraine continue de s’emparer de plusieurs zones qui étaient sous le contrôle de Moscou. D’autre part, Vladimir Poutine a souligné que la crise énergétique vécue par les pays européens «a débuté bien avant le lancement de l’opération militaire spéciale en Ukraine».
«Gazprom» respecte ses contrats
Il a par la même occasion expliqué que la «transition écologique » est à l’origine de cette crise énergétique, avant d’ajouter que «la recherche d’un coupable est une politique pour reprocher aux autres la crise de l’énergie. Il faut ouvrir le gazoduc Nord Stream 2. Il suffit d’appuyer sur le bouton », a-t-il souligné. Poutine a annoncé que la compagnie gazière russe «Gazprom» continuera à fournir du gaz et à respecter ses contrats.
« Les pays européens qui sont d’anciennes puissances coloniales, ont conservé ce paradigme de philosophie coloniale de vivre aux dépens des autres (…) Cela fait des décennies que les pays occidentaux n’ont cessé de cultiver l’idée de la désagrégation de l’Union soviétique, puis de la Russie », a expliqué le président russe. Le 24 février dernier, la Russie a lancé une opération militaire en Ukraine, ce qui a provoqué une colère et de multiples réactions à l’échelle internationale, ainsi que l’imposition de sanctions financières et économiques inédites et des plus sévères à l’endroit de Moscou.
La Russie pose comme préalable, pour mettre un terme à son opération, le renoncement de l’Ukraine à ses plans d’adhésion à des entités et alliances militaires, dont l’OTAN, et l’adoption d’un statut de « neutralité totale », ce que Kiev considère comme étant une « ingérence dans sa souveraineté ».
Le président russe a également souligné que l’opération militaire de Moscou en Ukraine «se poursuit » et que ses objectifs n’ont pas changé. «Notre objectif principal est de libérer tout le territoire du Donbass», a-t-il ajouté.
Les déclarations de Poutine interviennent au moment où l’Ukraine continue de s’emparer de plusieurs zones qui étaient sous le contrôle de Moscou. D’autre part, Vladimir Poutine a souligné que la crise énergétique vécue par les pays européens «a débuté bien avant le lancement de l’opération militaire spéciale en Ukraine».
«Gazprom» respecte ses contrats
Il a par la même occasion expliqué que la «transition écologique » est à l’origine de cette crise énergétique, avant d’ajouter que «la recherche d’un coupable est une politique pour reprocher aux autres la crise de l’énergie. Il faut ouvrir le gazoduc Nord Stream 2. Il suffit d’appuyer sur le bouton », a-t-il souligné. Poutine a annoncé que la compagnie gazière russe «Gazprom» continuera à fournir du gaz et à respecter ses contrats.
« Les pays européens qui sont d’anciennes puissances coloniales, ont conservé ce paradigme de philosophie coloniale de vivre aux dépens des autres (…) Cela fait des décennies que les pays occidentaux n’ont cessé de cultiver l’idée de la désagrégation de l’Union soviétique, puis de la Russie », a expliqué le président russe. Le 24 février dernier, la Russie a lancé une opération militaire en Ukraine, ce qui a provoqué une colère et de multiples réactions à l’échelle internationale, ainsi que l’imposition de sanctions financières et économiques inédites et des plus sévères à l’endroit de Moscou.
La Russie pose comme préalable, pour mettre un terme à son opération, le renoncement de l’Ukraine à ses plans d’adhésion à des entités et alliances militaires, dont l’OTAN, et l’adoption d’un statut de « neutralité totale », ce que Kiev considère comme étant une « ingérence dans sa souveraineté ».