L’AFP, se référant à l'agence Chine nouvelle, rapporte que Xi a dit à Trump que Pékin et Washington devraient "maintenir l'élan dans leurs relations" après leur rencontre en octobre en Corée du Sud, où ils ont cherché à apaiser la guerre commerciale entre leurs pays.
Le dirigeant chinois a estimé, durant l'échange téléphonique, que "le retour" de l'île "à la Chine était une partie importante de l'ordre international de l'après-guerre", selon l'agence.
"Au vu de la situation, il est d'autant plus important pour nous de préserver ensemble la victoire de la Deuxième Guerre mondiale", a-t-il poursuivi.
Après cet appel, Donald Trump a assuré dans un message sur son réseau Truth Social que la relation avec Pékin était "extrêmement solide", sans mentionner la très sensible question de Taïwan.
Le Premier ministre taïwanais Cho Jung-tai a réagi mardi aux propos de Xi Jinping en déclarant à la presse que Taïwan "est un État pleinement souverain" et qu'"il n'existe aucune option de retour".
Dans le même temps, Sanae Takaichi, la Première ministre japonaise, a indiqué à la presse qu'elle et Donald Trump avaient discuté de l'appel de ce dernier avec Xi Jinping, et eu un "large échange de points de vue sur le renforcement de l'alliance nippo-américaine et sur les défis et les enjeux auxquels est confrontée la région Indo-Pacifique".
Les États-Unis, eux, ne reconnaissent pas officiellement le statut d'État à Taïwan mais restent son soutien le plus puissant et son principal fournisseur d'armes.
Le dirigeant chinois a estimé, durant l'échange téléphonique, que "le retour" de l'île "à la Chine était une partie importante de l'ordre international de l'après-guerre", selon l'agence.
"Au vu de la situation, il est d'autant plus important pour nous de préserver ensemble la victoire de la Deuxième Guerre mondiale", a-t-il poursuivi.
Après cet appel, Donald Trump a assuré dans un message sur son réseau Truth Social que la relation avec Pékin était "extrêmement solide", sans mentionner la très sensible question de Taïwan.
Le Premier ministre taïwanais Cho Jung-tai a réagi mardi aux propos de Xi Jinping en déclarant à la presse que Taïwan "est un État pleinement souverain" et qu'"il n'existe aucune option de retour".
Dans le même temps, Sanae Takaichi, la Première ministre japonaise, a indiqué à la presse qu'elle et Donald Trump avaient discuté de l'appel de ce dernier avec Xi Jinping, et eu un "large échange de points de vue sur le renforcement de l'alliance nippo-américaine et sur les défis et les enjeux auxquels est confrontée la région Indo-Pacifique".
Les États-Unis, eux, ne reconnaissent pas officiellement le statut d'État à Taïwan mais restent son soutien le plus puissant et son principal fournisseur d'armes.





















