Le Nigéria bénéficiera de ses pipelines vers le Maroc. Photo: droits réservés.
Persuadée de la pérennité du projet de gazoduc Nigeria-Maroc, la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) ne lésinera sur aucun effort pour sa mise en œuvre, a affirmé, jeudi à Rabat, le commissaire européen chargé des infrastructures, de l'énergie et de la numérisation, Sediko Douka.
« Nous sommes convaincus, en tant que communauté économique régionale, de la viabilité de ce projet, qui représente une grande opportunité, et nous ne ménagerons aucun effort pour le faire aboutir », a déclaré Sediko Douka, lors de la signature d'un protocole d'accord sur le gazoduc Nigeria-Maroc entre la CEDEAO, le Nigeria et le Maroc.
Un projet hors du commun
De même, il a exprimé, au nom du Président de la Commission de la CEDEAO, Omar Aliou Touré, son plein soutien à ce projet régional qui aura un aspect positif sur la vie de plus de 400 millions de personnes. Il a noté que ce projet arrive à point nommé, compte tenu des défis auxquels est confrontée la région, à savoir le déficit périodique des moyens de transport de l'électricité.
Les répercussions de ce projet sont très élevées, car il veillera à l'approvisionnement en électricité de la zone ouest-africaine et, à long terme, à l'exportation de gaz naturel en tant que combustible vers l'Europe, a-t-il souligné.
«Nous avons suivi l'ensemble du processus des études de faisabilité du début à la fin dans les différentes phases de validation », a indiqué le ministre, précisant que la prochaine étape est celle des études détaillées et de mise en œuvre. Dès son lancement, le produit doit être commercialisé pour attirer les investisseurs publics et privés, qu'il s'agisse de banques multilatérales ou commerciales, puisqu'il est question d'un projet qui s'étend sur plus de 6.000 km et qui exigera des capitaux de plusieurs milliards de dollars, si bien que plusieurs parties prenantes sont requises pour assurer le financement.
« Nous sommes convaincus, en tant que communauté économique régionale, de la viabilité de ce projet, qui représente une grande opportunité, et nous ne ménagerons aucun effort pour le faire aboutir », a déclaré Sediko Douka, lors de la signature d'un protocole d'accord sur le gazoduc Nigeria-Maroc entre la CEDEAO, le Nigeria et le Maroc.
Un projet hors du commun
De même, il a exprimé, au nom du Président de la Commission de la CEDEAO, Omar Aliou Touré, son plein soutien à ce projet régional qui aura un aspect positif sur la vie de plus de 400 millions de personnes. Il a noté que ce projet arrive à point nommé, compte tenu des défis auxquels est confrontée la région, à savoir le déficit périodique des moyens de transport de l'électricité.
Les répercussions de ce projet sont très élevées, car il veillera à l'approvisionnement en électricité de la zone ouest-africaine et, à long terme, à l'exportation de gaz naturel en tant que combustible vers l'Europe, a-t-il souligné.
«Nous avons suivi l'ensemble du processus des études de faisabilité du début à la fin dans les différentes phases de validation », a indiqué le ministre, précisant que la prochaine étape est celle des études détaillées et de mise en œuvre. Dès son lancement, le produit doit être commercialisé pour attirer les investisseurs publics et privés, qu'il s'agisse de banques multilatérales ou commerciales, puisqu'il est question d'un projet qui s'étend sur plus de 6.000 km et qui exigera des capitaux de plusieurs milliards de dollars, si bien que plusieurs parties prenantes sont requises pour assurer le financement.
