La ministre de l'Économie et des Finances, Nadia Fettah. Crédit: DR.
"Le secteur privé doit occuper une place centrale. Sa capacité à investir, innover, industrialiser, créer de la valeur et réduire les risques systémiques est indispensable pour accompagner les grandes transitions africaines énergétiques, numériques, industrielles, agricoles et logistiques", a dit Mme Fettah à l'ouverture de l'Africa Investment Forum (AIF) 2025, organisé sous le thème "Réduire les écarts : mobiliser le capital privé pour libérer tout le potentiel de l'Afrique".
Relevant que les financements publics, indispensables mais limités, ne suffisent plus, elle a noté qu’il devient impératif d’élargir la base des investisseurs, d’attirer des capitaux privés et d’innover dans les mécanismes de mobilisation financière.
Ces impératifs, a-t-elle poursuivi, rejoignent les dynamiques internationales les plus récentes, notamment l'Engagement de Séville qui appelle explicitement à une mobilisation accrue du secteur privé dans le financement du développement durable.
Et de rappeler que la Banque Africaine de Développement (BAD) place au cœur de ses priorités la transformation structurelle du continent, l’accès au financement, l’appui aux petites et moyennes entreprises (PME) et les partenariats public-privé (PPP).
"Nous construisons nos conditions internes pour mieux attirer les financements externes, et nous mobilisons ces financements pour accélérer nos réformes internes. C’est ce cercle vertueux qui permettra à l’Afrique d’exprimer pleinement son potentiel", a fait valoir Mme Fettah.
A cette occasion, la ministre a fait savoir que le Maroc, sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a fait du développement du secteur privé l’un des piliers stratégiques de son modèle de développement.
Elle a, à cet égard, cité les multiples réformes structurantes qui traduisent cette orientation, dont la mise en place de la nouvelle Charte de l’Investissement, les dispositifs inédits de soutien aux très petites, petites et moyennes entreprises (TPME), la feuille de route de transformation du climat des affaires, le recours accru aux PPP en tant que moteur essentiel pour accélérer les projets structurants, ainsi que l’opérationnalisation du Fonds Mohammed VI pour l’Investissement comme véritable catalyseur des financements privés.
Et de soutenir : "Le Maroc s’est fixé un objectif clair : porter la part de l’investissement privé à deux tiers du total national d’ici 2035, contre un tiers aujourd’hui. Cette ambition résume une conviction profonde : l’investissement privé est la clé de l’emploi, de l’innovation et de la compétitivité".
Placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, l'AIF 2025, qui se poursuit jusqu'au 28 novembre courant, constitue une plateforme d'investissement visant à faciliter les investissements internationaux en Afrique en réunissant les promoteurs de projets, les financiers, les gouvernements ainsi que d'autres parties prenantes clés, dans l'objectif de conclure des transactions.
Le forum est dirigé par la BAD et six autres partenaires fondateurs, à savoir Afreximbank, la Société financière africaine, Africa50, la Banque arabe pour le développement économique en Afrique, la Banque de développement d'Afrique australe et la Banque du commerce et du développement.
Relevant que les financements publics, indispensables mais limités, ne suffisent plus, elle a noté qu’il devient impératif d’élargir la base des investisseurs, d’attirer des capitaux privés et d’innover dans les mécanismes de mobilisation financière.
Ces impératifs, a-t-elle poursuivi, rejoignent les dynamiques internationales les plus récentes, notamment l'Engagement de Séville qui appelle explicitement à une mobilisation accrue du secteur privé dans le financement du développement durable.
Et de rappeler que la Banque Africaine de Développement (BAD) place au cœur de ses priorités la transformation structurelle du continent, l’accès au financement, l’appui aux petites et moyennes entreprises (PME) et les partenariats public-privé (PPP).
"Nous construisons nos conditions internes pour mieux attirer les financements externes, et nous mobilisons ces financements pour accélérer nos réformes internes. C’est ce cercle vertueux qui permettra à l’Afrique d’exprimer pleinement son potentiel", a fait valoir Mme Fettah.
A cette occasion, la ministre a fait savoir que le Maroc, sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a fait du développement du secteur privé l’un des piliers stratégiques de son modèle de développement.
Elle a, à cet égard, cité les multiples réformes structurantes qui traduisent cette orientation, dont la mise en place de la nouvelle Charte de l’Investissement, les dispositifs inédits de soutien aux très petites, petites et moyennes entreprises (TPME), la feuille de route de transformation du climat des affaires, le recours accru aux PPP en tant que moteur essentiel pour accélérer les projets structurants, ainsi que l’opérationnalisation du Fonds Mohammed VI pour l’Investissement comme véritable catalyseur des financements privés.
Et de soutenir : "Le Maroc s’est fixé un objectif clair : porter la part de l’investissement privé à deux tiers du total national d’ici 2035, contre un tiers aujourd’hui. Cette ambition résume une conviction profonde : l’investissement privé est la clé de l’emploi, de l’innovation et de la compétitivité".
Placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, l'AIF 2025, qui se poursuit jusqu'au 28 novembre courant, constitue une plateforme d'investissement visant à faciliter les investissements internationaux en Afrique en réunissant les promoteurs de projets, les financiers, les gouvernements ainsi que d'autres parties prenantes clés, dans l'objectif de conclure des transactions.
Le forum est dirigé par la BAD et six autres partenaires fondateurs, à savoir Afreximbank, la Société financière africaine, Africa50, la Banque arabe pour le développement économique en Afrique, la Banque de développement d'Afrique australe et la Banque du commerce et du développement.
