Répondant aux questions des journalistes, Baïtas a précisé que le projet de loi de finances pour 2024 s'aligne sur les principes de l’État social. En effet, les secteurs de la santé et de l’éducation bénéficieront d'un financement conséquent, avec un budget avoisinant les 107 milliards de dirhams, soit environ 10% du PIB.
Le ministre a détaillé les allocations accordées dans différents domaines sociaux. Ainsi, 10 milliards de dirhams ont été alloués au logement, une somme identique a été dédiée au système "Solidarité AMO", tandis que 25 milliards de dirhams ont été attribués aux allocations familiales directes. Un montant de 16 milliards de dirhams a également été réservé à la Caisse de compensation, représentant ainsi 40% du PIB, démontrant ainsi l'engagement fort envers la consolidation de l’État social.
Par ailleurs, Baïtas a souligné que le financement de ces mesures sociales nécessite la mise en œuvre des réformes fiscales contenues dans la Loi de finance 2024. Ces réformes, en accord avec la loi-cadre relative à la réforme fiscale et les recommandations des Assises nationales sur la fiscalité, contribueront à soutenir les politiques sociales du gouvernement.
Le ministre a détaillé les allocations accordées dans différents domaines sociaux. Ainsi, 10 milliards de dirhams ont été alloués au logement, une somme identique a été dédiée au système "Solidarité AMO", tandis que 25 milliards de dirhams ont été attribués aux allocations familiales directes. Un montant de 16 milliards de dirhams a également été réservé à la Caisse de compensation, représentant ainsi 40% du PIB, démontrant ainsi l'engagement fort envers la consolidation de l’État social.
Par ailleurs, Baïtas a souligné que le financement de ces mesures sociales nécessite la mise en œuvre des réformes fiscales contenues dans la Loi de finance 2024. Ces réformes, en accord avec la loi-cadre relative à la réforme fiscale et les recommandations des Assises nationales sur la fiscalité, contribueront à soutenir les politiques sociales du gouvernement.