Ces données interviennent après que le classement de l’année en cours ait été comparé à celui de l’année précédente, le Royaume ayant gagné deux places au classement international.
Sur la base de ce rapport, le Maroc se classe 92ème au niveau mondial sur 142 pays classés en 2023, en grimpant de deux places par rapport à l’année précédente où le Maroc se classait à la 94ème place lors de l’évaluation précédente, qui incluait 140 pays.
L’Indice mondial de l’Etat de droit s’appuie, rappelons-le, sur plusieurs critères principaux pour évaluer les conditions juridiques dans les pays, notamment les restrictions imposées aux autorités gouvernementales, l’absence de corruption, le gouvernement ouvert, les droits fondamentaux, l’ordre et la sécurité, l’application des réglementations, la justice civile et la justice pénale.
Concernant l’indice des restrictions imposées aux autorités gouvernementales, le Maroc se classe au 76ème rang, ce qui reflète la force du contrôle exercé sur les autorités gouvernementales, le rôle du pouvoir judiciaire et de l’autorité législative. En l’absence d’indice de corruption, le Royaume se classe au 88ème rang, indiquant la lutte contre la corruption dans les institutions judiciaires, et autres.
En revanche, le rapport affiche une marge d’amélioration dans l’indice du «Gouvernement Ouvert» et des «droits fondamentaux», le Maroc se classant respectivement 101ème et 114ème. Quant à l’indice d’ordre et de sécurité, le Royaume s’est classé 89ème, indiquant la nécessité de renforcer la sécurité et la stabilité.
Aux niveaux régional et arabe, le Maroc a obtenu un bon classement, se classant au sixième rang des pays arabes, derrière les Émirats Arabes Unis, le Koweït, la Jordanie et la Tunisie. Cette classification témoigne du développement remarquable réalisé par le Royaume en matière de renforcement de l’État de droit et d’assurer la stabilité du Royaume.
Sur le plan international, le Danemark arrive en tête de liste du classement, suivi de la Norvège et de la Finlande. D’un autre côté, Haïti, l’Afghanistan, le Cambodge et le Venezuela se classent derniers, témoignant ainsi des défis auxquels ces pays sont confrontés pour renforcer l’État de droit.
Ce rapport souligne les progrès remarquables réalisés par le Maroc en matière de renforcement de l’État de droit et d’amélioration des conditions juridiques, et encourage la poursuite des efforts dans ce sens afin de parvenir à plus de progrès.
Sur la base de ce rapport, le Maroc se classe 92ème au niveau mondial sur 142 pays classés en 2023, en grimpant de deux places par rapport à l’année précédente où le Maroc se classait à la 94ème place lors de l’évaluation précédente, qui incluait 140 pays.
L’Indice mondial de l’Etat de droit s’appuie, rappelons-le, sur plusieurs critères principaux pour évaluer les conditions juridiques dans les pays, notamment les restrictions imposées aux autorités gouvernementales, l’absence de corruption, le gouvernement ouvert, les droits fondamentaux, l’ordre et la sécurité, l’application des réglementations, la justice civile et la justice pénale.
Concernant l’indice des restrictions imposées aux autorités gouvernementales, le Maroc se classe au 76ème rang, ce qui reflète la force du contrôle exercé sur les autorités gouvernementales, le rôle du pouvoir judiciaire et de l’autorité législative. En l’absence d’indice de corruption, le Royaume se classe au 88ème rang, indiquant la lutte contre la corruption dans les institutions judiciaires, et autres.
En revanche, le rapport affiche une marge d’amélioration dans l’indice du «Gouvernement Ouvert» et des «droits fondamentaux», le Maroc se classant respectivement 101ème et 114ème. Quant à l’indice d’ordre et de sécurité, le Royaume s’est classé 89ème, indiquant la nécessité de renforcer la sécurité et la stabilité.
Aux niveaux régional et arabe, le Maroc a obtenu un bon classement, se classant au sixième rang des pays arabes, derrière les Émirats Arabes Unis, le Koweït, la Jordanie et la Tunisie. Cette classification témoigne du développement remarquable réalisé par le Royaume en matière de renforcement de l’État de droit et d’assurer la stabilité du Royaume.
Sur le plan international, le Danemark arrive en tête de liste du classement, suivi de la Norvège et de la Finlande. D’un autre côté, Haïti, l’Afghanistan, le Cambodge et le Venezuela se classent derniers, témoignant ainsi des défis auxquels ces pays sont confrontés pour renforcer l’État de droit.
Ce rapport souligne les progrès remarquables réalisés par le Maroc en matière de renforcement de l’État de droit et d’amélioration des conditions juridiques, et encourage la poursuite des efforts dans ce sens afin de parvenir à plus de progrès.