Mettre en œuvre une feuille de route axée sur la diversification des chaînes touristiques et la création d’une offre variée.
Chaque été, la polémique sur les prix, jugés excessifs, des séjours au Maroc, comparés à ceux de l’étranger, refait surface. Beaucoup estiment que l’offre touristique locale semble surtout taillée pour les visiteurs étrangers et, à certains égards, conçue pour tenir à distance les touristes nationaux.
La ministre du Tourisme, de l’Économie Sociale et Solidaire et de l’Artisanat, Fatim-Zahra Ammor, n’est pourtant pas du même avis. Lors de l’examen du budget sectoriel de son département devant la Commission des secteurs productifs de la Chambre des Conseillers, elle a affirmé que les études menées par son ministère montrent que les destinations souvent comparées au Maroc «affichent des prix deux fois plus élevés que ceux pratiqués au Maroc». La ministre affirme que les données de 2024 indiquent que 50% des Marocains voyagent à l’intérieur du pays, un niveau comparable à celui du Portugal, proche de celui de la France et supérieur à celui de la Grèce.
La ministre du Tourisme, de l’Économie Sociale et Solidaire et de l’Artisanat, Fatim-Zahra Ammor, n’est pourtant pas du même avis. Lors de l’examen du budget sectoriel de son département devant la Commission des secteurs productifs de la Chambre des Conseillers, elle a affirmé que les études menées par son ministère montrent que les destinations souvent comparées au Maroc «affichent des prix deux fois plus élevés que ceux pratiqués au Maroc». La ministre affirme que les données de 2024 indiquent que 50% des Marocains voyagent à l’intérieur du pays, un niveau comparable à celui du Portugal, proche de celui de la France et supérieur à celui de la Grèce.
Trouvez l'intégralité de l'article dans notre édition VSD 28, 29 et 30 Novembre 2025, disponible en kiosque.




















