« Poursuivre la lutte contre la violence à l’égard des femmes, c’est œuvrer pour préserver la dignité de millions de femmes, que ce soit chez elles, dans la rue ou dans l’espace numérique. ». C’est par ces mots que les acteurs de la société civile et des institutions publiques, vêtus en chall orange, ont réaffirmé, mardi, leur engagement lors de la 23ème édition de la campagne nationale de lutte contre la violence à l’égard des femmes. Laquelle a été lancée par la ministre de la Solidarité, de l’Insertion sociale et de la Famille, Naïma Ben Yahia.
Cette campagne, qui se déroule du 25 novembre au 10 décembre, se veut un moment fort d’alerte et de mobilisation, destiné à renforcer la sensibilisation à un phénomène à la fois complexe et urgent, dans un contexte où les chiffres de la violence ne cessent d’augmenter et où les discours masculinistes peinent à s'estomper.
Organisée sous le thème: « Harmonisation de la législation avec les principes d’égalité et de non-discrimination », la campagne de cette année se veut également un rendez-vous pour répertorier les formes de discrimination manifestantes dans les législations nationales et les lacunes dans l’application de l’arsenal juridique, en matière de lutte contre la violence à l’égard des femmes sous toutes ses formes, notamment après l’adoption de la loi 103.13.
Celle-ci, entrée en vigueur en 2018, sera bientôt révisée en vue de renforcer la protection juridique des femmes victimes de violences en assurant la prévention, la protection, la lutte contre l’impunité et la prise en charge de qualité, a annoncé la ministre à cette occasion. À l’entame de cette mobilisation, Naïma Ben Yahia a annoncé le lancement, au niveau du ministère, de la Cellule centrale de prise en charge des femmes victimes de violence.
Elle a, également, fait part de la généralisation officielle, à l’ensemble des établissements multifonctionnels, de la plateforme numérique « Aman Lak », accessible via le site web du ministère ou à travers son application mobile dédiée.
Pour ce qui de la campagne nationale de lutte contre la violence 2025, elle a été aussi l’occasion de renouer des partenariats en mesure de renforcer l’autonomisation économique de la femme et de lutter contre sa vulnérabilité qui la rend plus exposée à la discrimination.
Ainsi, la ministre a signé une convention de partenariat avec le Secrétariat d’État chargé du Commerce extérieur ainsi que le Secrétaire d’État chargé de l’Artisanat et de l’Économie sociale et solidaire en vue de faciliter l’accès de milliers de coopératives féminines, et de très petites, petites et moyennes entreprises dirigées par des femmes marocaines, aux marchés internationaux. Il s’agit, par ailleurs, de renforcer leurs capacités en matière d’exportation et d’intégrer leur production dans les chaînes de valeur orientées vers le commerce international.
Cette campagne, qui se déroule du 25 novembre au 10 décembre, se veut un moment fort d’alerte et de mobilisation, destiné à renforcer la sensibilisation à un phénomène à la fois complexe et urgent, dans un contexte où les chiffres de la violence ne cessent d’augmenter et où les discours masculinistes peinent à s'estomper.
Organisée sous le thème: « Harmonisation de la législation avec les principes d’égalité et de non-discrimination », la campagne de cette année se veut également un rendez-vous pour répertorier les formes de discrimination manifestantes dans les législations nationales et les lacunes dans l’application de l’arsenal juridique, en matière de lutte contre la violence à l’égard des femmes sous toutes ses formes, notamment après l’adoption de la loi 103.13.
Celle-ci, entrée en vigueur en 2018, sera bientôt révisée en vue de renforcer la protection juridique des femmes victimes de violences en assurant la prévention, la protection, la lutte contre l’impunité et la prise en charge de qualité, a annoncé la ministre à cette occasion. À l’entame de cette mobilisation, Naïma Ben Yahia a annoncé le lancement, au niveau du ministère, de la Cellule centrale de prise en charge des femmes victimes de violence.
Elle a, également, fait part de la généralisation officielle, à l’ensemble des établissements multifonctionnels, de la plateforme numérique « Aman Lak », accessible via le site web du ministère ou à travers son application mobile dédiée.
Pour ce qui de la campagne nationale de lutte contre la violence 2025, elle a été aussi l’occasion de renouer des partenariats en mesure de renforcer l’autonomisation économique de la femme et de lutter contre sa vulnérabilité qui la rend plus exposée à la discrimination.
Ainsi, la ministre a signé une convention de partenariat avec le Secrétariat d’État chargé du Commerce extérieur ainsi que le Secrétaire d’État chargé de l’Artisanat et de l’Économie sociale et solidaire en vue de faciliter l’accès de milliers de coopératives féminines, et de très petites, petites et moyennes entreprises dirigées par des femmes marocaines, aux marchés internationaux. Il s’agit, par ailleurs, de renforcer leurs capacités en matière d’exportation et d’intégrer leur production dans les chaînes de valeur orientées vers le commerce international.





















