Il y a deux semaines, le Conseil de la Concurrence publiait son rapport trimestriel sur les neuf sociétés distributrices de carburants. Sans surprise, il confirme que la baisse des coûts internationaux et des coûts d’achat n’est répercutée qu’en partie à la pompe, notamment dans les stations en gérance libre. Cet écart entre coûts et prix à la pompe s’est invité à la Commission des infrastructures et de l’énergie, où les députés ont de nouveau critiqué la faible rationalisation des marges. Ils alertent aussi sur les risques que ces pratiques font peser sur la transition énergétique. Raison pour laquelle plusieurs élus appellent à la relance de la raffinerie de la SAMIR, vue comme un moyen de mieux se protéger des fluctuations des marchés internationaux. Solution réellement efficace ou pas ? Eclairage.
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