La Fondation Mahi Binebine a annoncé que deux institutions américaines de premier plan – le Smithsonian National Museum of African Art, à Washington, et le Pérez Art Museum Miami (PAMM) – ont acquis des œuvres du plasticien marocain. « C’est un immense honneur de voir mes œuvres rejoindre les collections du Smithsonian et du Pérez Art Museum Miami », a confié Mahi Binebine. L’artiste souligne l’importance de ces institutions dans la promotion des voix africaines et diasporiques : « Savoir que mon travail sera exposé aux côtés d’artistes que j’admire profondément, et visible par des publics si diversifiés, me touche énormément. »
Chaque musée a intégré à sa collection une œuvre emblématique de l’artiste marrakchi. Ce double geste illustre la place grandissante qu’occupe Binebine sur la scène internationale de l’art contemporain. Longtemps reconnu pour sa capacité à traduire les réalités sociales et politiques du Maroc à travers des formes plastiques puissantes, l’artiste voit son œuvre entrer dans des institutions qui font référence à l’échelle mondiale.
Cette reconnaissance ne constitue pas une première. Les œuvres de Binebine figurent déjà dans des collections prestigieuses, telles que le Guggenheim Museum à New York, le Musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain à Rabat, ou encore l’Institut du monde arabe à Paris. Mais l’intégration simultanée de ses créations dans deux grands musées américains constitue un moment charnière de sa carrière, lui assurant une visibilité accrue auprès de publics variés, des États-Unis à l’Afrique.
Plasticien mais aussi romancier, Mahi Binebine nourrit son œuvre d’une profonde réflexion sur la mémoire collective et les trajectoires individuelles. Ses toiles et sculptures mettent en scène des silhouettes expressives, souvent massées ou entremêlées, traduisant à la fois la fragilité et la résilience humaine. Les migrations, les fractures sociales, l’injustice et la quête de dignité sont au cœur de son univers artistique.
À travers une palette dominée par des tonalités terreuses et des textures denses, il crée des récits visuels qui interpellent autant qu’ils émeuvent. Ses créations, à la fois poétiques et critiques, offrent une lecture sensible des réalités marocaines tout en rejoignant des préoccupations universelles.
Né à Marrakech en 1959, Binebine a toujours revendiqué l’ancrage de son œuvre dans sa ville natale. La Fondation Mahi Binebine, qu’il a créée, vise à rendre l’art accessible aux jeunes générations et à encourager l’éducation artistique dans les quartiers populaires. Ce double ancrage, local et international, explique en partie la singularité de sa trajectoire : un artiste profondément enraciné dans son territoire mais capable de dialoguer avec les plus grandes institutions muséales du monde.
Chaque musée a intégré à sa collection une œuvre emblématique de l’artiste marrakchi. Ce double geste illustre la place grandissante qu’occupe Binebine sur la scène internationale de l’art contemporain. Longtemps reconnu pour sa capacité à traduire les réalités sociales et politiques du Maroc à travers des formes plastiques puissantes, l’artiste voit son œuvre entrer dans des institutions qui font référence à l’échelle mondiale.
Cette reconnaissance ne constitue pas une première. Les œuvres de Binebine figurent déjà dans des collections prestigieuses, telles que le Guggenheim Museum à New York, le Musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain à Rabat, ou encore l’Institut du monde arabe à Paris. Mais l’intégration simultanée de ses créations dans deux grands musées américains constitue un moment charnière de sa carrière, lui assurant une visibilité accrue auprès de publics variés, des États-Unis à l’Afrique.
Plasticien mais aussi romancier, Mahi Binebine nourrit son œuvre d’une profonde réflexion sur la mémoire collective et les trajectoires individuelles. Ses toiles et sculptures mettent en scène des silhouettes expressives, souvent massées ou entremêlées, traduisant à la fois la fragilité et la résilience humaine. Les migrations, les fractures sociales, l’injustice et la quête de dignité sont au cœur de son univers artistique.
À travers une palette dominée par des tonalités terreuses et des textures denses, il crée des récits visuels qui interpellent autant qu’ils émeuvent. Ses créations, à la fois poétiques et critiques, offrent une lecture sensible des réalités marocaines tout en rejoignant des préoccupations universelles.
Né à Marrakech en 1959, Binebine a toujours revendiqué l’ancrage de son œuvre dans sa ville natale. La Fondation Mahi Binebine, qu’il a créée, vise à rendre l’art accessible aux jeunes générations et à encourager l’éducation artistique dans les quartiers populaires. Ce double ancrage, local et international, explique en partie la singularité de sa trajectoire : un artiste profondément enraciné dans son territoire mais capable de dialoguer avec les plus grandes institutions muséales du monde.
