Cette exercice vise à évaluer leur capacité de réaction face à des menaces conventionnelles et hybrides. Selon la 430ᵉ édition de la Revue des FAR, cet entraînement s’est déroulé du 24 octobre au 14 novembre à Errachidia ainsi que sur la façade maritime nord du Royaume.
Pensé comme un entraînement en conditions réelles, « Acharq 25 » a mobilisé une force conjointe composée d’unités terrestres, aériennes et navales, soutenues par les forces spéciales et des capacités avancées de guerre électronique et informationnelle.
Le scénario retenu simulait une menace conventionnelle d’envergure, combinée à des opérations de sabotage visant le territoire national, dans le but de tester la réactivité, la coordination et la cohérence du dispositif de défense.
En amont des manœuvres, plusieurs cycles de formation ont été organisés pour préparer les participants à un environnement opérationnel complexe, marqué par l’émergence de conflits hybrides mêlant actions militaires classiques, opérations asymétriques, technologies avancées et guerre de l’information. Les différentes composantes des FAR ont ainsi œuvré de manière concertée, tant lors de la phase de planification que durant la conduite des opérations, avec un accent particulier sur la complémentarité des moyens engagés.
L’exercice a permis de simuler la neutralisation progressive de la menace, le refoulement des forces adverses et la destruction de leurs principaux moyens d’action. Les unités mécanisées et blindées, les forces spéciales, les parachutistes, l’artillerie et le génie militaire ont agi de manière coordonnée pour contenir l’offensive simulée et infliger des pertes significatives à l’ennemi.
Parallèlement, une attention soutenue a été accordée aux dimensions informationnelle, psychologique et cybernétique. Le scénario intégrait des actions de désinformation, de manipulation de l’opinion publique ainsi que des cyberattaques ciblant des infrastructures sensibles, illustrant les nouvelles formes de conflictualité contemporaines.
Mené dans des conditions proches de la réalité, de jour comme de nuit, « Acharq 25 » a mobilisé d’importants moyens humains, techniques et logistiques. Il a offert un cadre réaliste pour consolider les acquis, perfectionner les savoir-faire et renforcer la préparation opérationnelle globale des Forces armées royales.
Pensé comme un entraînement en conditions réelles, « Acharq 25 » a mobilisé une force conjointe composée d’unités terrestres, aériennes et navales, soutenues par les forces spéciales et des capacités avancées de guerre électronique et informationnelle.
Le scénario retenu simulait une menace conventionnelle d’envergure, combinée à des opérations de sabotage visant le territoire national, dans le but de tester la réactivité, la coordination et la cohérence du dispositif de défense.
En amont des manœuvres, plusieurs cycles de formation ont été organisés pour préparer les participants à un environnement opérationnel complexe, marqué par l’émergence de conflits hybrides mêlant actions militaires classiques, opérations asymétriques, technologies avancées et guerre de l’information. Les différentes composantes des FAR ont ainsi œuvré de manière concertée, tant lors de la phase de planification que durant la conduite des opérations, avec un accent particulier sur la complémentarité des moyens engagés.
L’exercice a permis de simuler la neutralisation progressive de la menace, le refoulement des forces adverses et la destruction de leurs principaux moyens d’action. Les unités mécanisées et blindées, les forces spéciales, les parachutistes, l’artillerie et le génie militaire ont agi de manière coordonnée pour contenir l’offensive simulée et infliger des pertes significatives à l’ennemi.
Parallèlement, une attention soutenue a été accordée aux dimensions informationnelle, psychologique et cybernétique. Le scénario intégrait des actions de désinformation, de manipulation de l’opinion publique ainsi que des cyberattaques ciblant des infrastructures sensibles, illustrant les nouvelles formes de conflictualité contemporaines.
Mené dans des conditions proches de la réalité, de jour comme de nuit, « Acharq 25 » a mobilisé d’importants moyens humains, techniques et logistiques. Il a offert un cadre réaliste pour consolider les acquis, perfectionner les savoir-faire et renforcer la préparation opérationnelle globale des Forces armées royales.























