La trêve fragile n’aura duré que quelques semaines. A peine s’est-il réconcilié avec les avocats que le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, a déclenché leur colère. Vent debout, les barreaux fulminent contre le projet de loi encadrant la profession, rejeté en bloc par les robes noires qui y voient une atteinte à leur indépendance. D’aucuns y voient une mainmise, d’autres une inféodation au ministère de tutelle, selon les témoignages recueillis par «L’Opinion».
En gros, les avocats jugent que leur autonomie de gestion de la profession est compromise et comprennent mal le secret qui a entouré les négociations. Or, la réforme est présentée par la tutelle comme un meilleur encadrement de la profession pour améliorer sa qualité et la confiance des justiciables. «L’Opinion» a sollicité l’avis des deux parties pour mettre la lumière sur ce nouveau malentendu qui risque d’aboutir à un nouveau bras de fer. Décryptage.
En gros, les avocats jugent que leur autonomie de gestion de la profession est compromise et comprennent mal le secret qui a entouré les négociations. Or, la réforme est présentée par la tutelle comme un meilleur encadrement de la profession pour améliorer sa qualité et la confiance des justiciables. «L’Opinion» a sollicité l’avis des deux parties pour mettre la lumière sur ce nouveau malentendu qui risque d’aboutir à un nouveau bras de fer. Décryptage.
Trouvez l'intégralité de l'article dans notre édition du Lundi 29 Décembre 2025, disponible en kiosque.























