Le PDG du groupe Nigeria National Petroleum Company Ltd (NNPCL), M. Mele Kyari, a déclaré que la décision finale relative à l'investissement dans le projet du gazoduc Nigeria-Maroc, d'une valeur de 25 milliards de dollars, serait prise en décembre 2024, a souligné un média nigérian.
Le responsable nigérian a indiqué que la décision finale d'investissement (DFI) pour le NMGP, d'une valeur de 25 milliards de dollars, devrait être finalisée d'ici décembre 2024.
En outre, le responsable a noté que la transition énergétique représente un défi important pour les nations, en particulier en Afrique subsaharienne, en raison de leurs circonstances géographiques uniques, ajoutant qu'une grande partie de ces pays se concentre sur la disponibilité de l'énergie plutôt que sur la transition vers d'autres sources d'énergie.
"Le monde a vu tous les défis posés récemment par les événements géopolitiques. Il est clair qu'avant de procéder à la transition énergétique, les pays doivent d'abord assurer la sécurité de leur approvisionnement énergétique. On ne peut pas parler de sécurité énergétique quand l'énergie n'est même pas disponible. Dans la plupart des pays d'Afrique subsaharienne, 70 % de la population n'a pas accès à des combustibles de cuisson propres. Il faut donc d'abord combler le déficit d'approvisionnement", a-t-il déclaré.
Il a indiqué que si l'on discute de l'utilisation des sources d'énergie renouvelables pour combler le fossé de la transition énergétique, le financement nécessaire pour ces énergies renouvelables doit également être assuré. Il a fait remarquer que même si l'Afrique abandonnait les combustibles fossiles, cela ne représenterait que 3 % des émissions mondiales et ne changerait pas grand-chose.
Le responsable nigérian a indiqué que la décision finale d'investissement (DFI) pour le NMGP, d'une valeur de 25 milliards de dollars, devrait être finalisée d'ici décembre 2024.
En outre, le responsable a noté que la transition énergétique représente un défi important pour les nations, en particulier en Afrique subsaharienne, en raison de leurs circonstances géographiques uniques, ajoutant qu'une grande partie de ces pays se concentre sur la disponibilité de l'énergie plutôt que sur la transition vers d'autres sources d'énergie.
"Le monde a vu tous les défis posés récemment par les événements géopolitiques. Il est clair qu'avant de procéder à la transition énergétique, les pays doivent d'abord assurer la sécurité de leur approvisionnement énergétique. On ne peut pas parler de sécurité énergétique quand l'énergie n'est même pas disponible. Dans la plupart des pays d'Afrique subsaharienne, 70 % de la population n'a pas accès à des combustibles de cuisson propres. Il faut donc d'abord combler le déficit d'approvisionnement", a-t-il déclaré.
Il a indiqué que si l'on discute de l'utilisation des sources d'énergie renouvelables pour combler le fossé de la transition énergétique, le financement nécessaire pour ces énergies renouvelables doit également être assuré. Il a fait remarquer que même si l'Afrique abandonnait les combustibles fossiles, cela ne représenterait que 3 % des émissions mondiales et ne changerait pas grand-chose.