Selon plusieurs sources syriennes au Fait de la question, renforcement militaire turc a eu lieu à l'est de l'Euphrate, coïncidant avec l'intensification de l'activité militaire des FDS et l'armement de ses partisans en prévision d'une confrontation potentielle, rapporte le site en line qatari Erem News.
Ces sources indiquent qu’Ankara a commencé un renforcement militaire massif vers la région orientale de l'Euphrate, une démarche qui pourrait ouvrir la voie à une attaque contre les FDS en coopération avec les forces de l'armée syrienne.
Ce renforcement militaire turc à la périphérie des zones contrôlées par les FDS est le premier du genre, tant en termes d'équipement que de personnel participant au renforcement.
La même source a affirmé que le dispositif militaire turc comprend plus de 135 chars, en plus de l'artillerie, des véhicules blindés et d'autres véhicules militaires.
Le renforcement militaire turc fait suite aux informations faisant état d'un accord turco-syrien lors de la récente visite du président syrien Ahmad al-Sharaa à Istanbul pour résoudre le problème des Forces démocratiques syriennes, qui continuent de refuser de rectifier leur statut et de s'intégrer dans l'armée syrienne.
Erem ajoute que l'accord turco-syrien pour résoudre la question des FDS bénéficie du soutien des États-Unis, qui ont donné le feu vert à l'opération à moins que les forces kurdes ne se dissolvent et ne s'intègrent dans l'armée syrienne avant la date limite fixée par le ministère syrien de la Défense.
Le ministère syrien de la Défense avait précédemment fixé au 27 mai la date limite pour que les factions armées s’autodissolvent et s'intègrent à l'armée syrienne avant d'être considérées comme illégales et soumises à l'usage de la force militaire.
Des sources syriennes dans la ville de Hasaka ont déclaré que «le régime a commencé à armer des centaines de loyalistes ou de membres des familles de ses membres dans la province de Hasaka».
Des sources proches des FDS ont révélé à Erem News que les FDS estiment que la probabilité d'affrontements est plus que jamais à l’ordre du jour, estimant qu'Ankara pousse à une action militaire contre les FDS sous prétexte de tergiversation des miliciens pour la mise en œuvre de l'accord signé avec Damas le 10 mars.
Les mêmes sources ajoutent que des responsables des forces dites de «protection centrale» ont remis des mitrailleuses à des citoyens qui soutiennent ou sont fidèles aux FDS dans les villes de Hasakah, Qamishli, Amuda, Darbasiyah, Al-Malikiyah, Al-Qahtaniyah et Ma'badah.
Toujours selon les sources rapportées par Erem news, le processus d’armement concerne les familles fidèles et proches des FDS, excluant les combattants arabes du processus d’armement, de peur qu’ils se rangent du côté de l’armée syrienne en cas d’affrontements.
Ces sources indiquent qu’Ankara a commencé un renforcement militaire massif vers la région orientale de l'Euphrate, une démarche qui pourrait ouvrir la voie à une attaque contre les FDS en coopération avec les forces de l'armée syrienne.
Ce renforcement militaire turc à la périphérie des zones contrôlées par les FDS est le premier du genre, tant en termes d'équipement que de personnel participant au renforcement.
La même source a affirmé que le dispositif militaire turc comprend plus de 135 chars, en plus de l'artillerie, des véhicules blindés et d'autres véhicules militaires.
Le renforcement militaire turc fait suite aux informations faisant état d'un accord turco-syrien lors de la récente visite du président syrien Ahmad al-Sharaa à Istanbul pour résoudre le problème des Forces démocratiques syriennes, qui continuent de refuser de rectifier leur statut et de s'intégrer dans l'armée syrienne.
Erem ajoute que l'accord turco-syrien pour résoudre la question des FDS bénéficie du soutien des États-Unis, qui ont donné le feu vert à l'opération à moins que les forces kurdes ne se dissolvent et ne s'intègrent dans l'armée syrienne avant la date limite fixée par le ministère syrien de la Défense.
Le ministère syrien de la Défense avait précédemment fixé au 27 mai la date limite pour que les factions armées s’autodissolvent et s'intègrent à l'armée syrienne avant d'être considérées comme illégales et soumises à l'usage de la force militaire.
Des sources syriennes dans la ville de Hasaka ont déclaré que «le régime a commencé à armer des centaines de loyalistes ou de membres des familles de ses membres dans la province de Hasaka».
Des sources proches des FDS ont révélé à Erem News que les FDS estiment que la probabilité d'affrontements est plus que jamais à l’ordre du jour, estimant qu'Ankara pousse à une action militaire contre les FDS sous prétexte de tergiversation des miliciens pour la mise en œuvre de l'accord signé avec Damas le 10 mars.
Les mêmes sources ajoutent que des responsables des forces dites de «protection centrale» ont remis des mitrailleuses à des citoyens qui soutiennent ou sont fidèles aux FDS dans les villes de Hasakah, Qamishli, Amuda, Darbasiyah, Al-Malikiyah, Al-Qahtaniyah et Ma'badah.
Toujours selon les sources rapportées par Erem news, le processus d’armement concerne les familles fidèles et proches des FDS, excluant les combattants arabes du processus d’armement, de peur qu’ils se rangent du côté de l’armée syrienne en cas d’affrontements.
