Un symbole radical : cet espace dédié, offrant aux journalistes des conditions de travail inédites au Maroc, transforme les médias en co-constructeurs de sa renommée. El Jadida érige ainsi le respect journalistique en acte politique — générant un rayonnement international, une dynamique touristique et une reconnaissance patrimoniale. "Cette tente blanche est un acte de foi dans le pouvoir des médias", souligne Moulay Mehdi En Fathemy, président de la commune Moulay Abdallah, face au contraste des entraves subies ailleurs.
Bien au-delà d'un simple service logistique, cette structure offre des accès garantis et un espace de travail équipé pour les médias. "Chaque journaliste présent est un partenaire stratégique pour la transmission de l'événement", souligne pour sa part Abdeljabbar Belharcha, directeur du Moussem, revendiquant un choix délibéré de valorisation de la profession.
Alors que des incidents récurrents ailleurs montrent des reporters empêchés de travailler (comme en témoignent les signalements sur les réseaux sociaux), la Tente Presse symbolise ici une reconnaissance concrète du rôle médiatique.
Force est d'ajouter que Le Moussem Moulay Abdallah Amghar devient un cas d'étude face aux difficultés rencontrées par les journalistes culturels au Maroc, où 78% d'entre eux dénoncent des entraves dans les festivals (enquête SNPM 2024).
Bien au-delà d'un simple service logistique, cette structure offre des accès garantis et un espace de travail équipé pour les médias. "Chaque journaliste présent est un partenaire stratégique pour la transmission de l'événement", souligne pour sa part Abdeljabbar Belharcha, directeur du Moussem, revendiquant un choix délibéré de valorisation de la profession.
Alors que des incidents récurrents ailleurs montrent des reporters empêchés de travailler (comme en témoignent les signalements sur les réseaux sociaux), la Tente Presse symbolise ici une reconnaissance concrète du rôle médiatique.
Force est d'ajouter que Le Moussem Moulay Abdallah Amghar devient un cas d'étude face aux difficultés rencontrées par les journalistes culturels au Maroc, où 78% d'entre eux dénoncent des entraves dans les festivals (enquête SNPM 2024).
Mohamed LOKHNATI