Face à l’Espagne, les coéquipiers de Gessime Yassine ont démontré qu’ils n’étaient pas venus pour faire de la figuration. Solidité défensive, maîtrise tactique et efficacité chirurgicale ont été les clés d’un succès qui a fait sensation. Mais, comme aime à le rappeler notre sélectionneur national : « il faut garder les pieds sur terre ». Et pour cause : en face, se dresse la Seleção, quintuple championne du monde de la catégorie (1983, 1985, 1993, 2003 et 2011).
Dos au mur après son nul inaugural contre le Mexique (2-2), le Brésil n’aura d’autre choix que de jouer crânement sa chance. Avec 75 offensives recensées face aux Mexicains, l’attaque auriverde reste une machine à broyer les défenses, capable de faire la différence à tout instant.
Mais les Lionceaux n’ont pas l’intention de céder à la peur. Portés par une défense rigoureuse menée par Ismael Baouf et Smail Bakhty, et par un collectif qui respire la confiance, ils veulent prouver que leur performance contre l’Espagne n’était pas un feu de paille. « Nous n’avons pas peur des adversaires de taille. Notre objectif est clair : gagner tous les matchs », a martelé Ouahbi après la première victoire.
Historiquement, Maroc et Brésil ne se sont croisés qu’une seule fois dans ce tournoi : en 2005, lors d’un match de classement aux Pays-Bas, les Sud-Américains l’avaient emporté 2-1. Vingt ans plus tard, le rendez-vous est pris pour une revanche au parfum de prestige.
Dans l’autre duel du groupe, l’Espagne s’est opposée au Mexique hier en soireé. Mais c’est bien le Maroc-Brésil qui attire tous les regards, tant cette affiche incarne le rêve et l’ambition. Les Lionceaux, sûrs de leur force, ont l’occasion d’écrire une nouvelle page mémorable de leur jeune Histoire.
Dos au mur après son nul inaugural contre le Mexique (2-2), le Brésil n’aura d’autre choix que de jouer crânement sa chance. Avec 75 offensives recensées face aux Mexicains, l’attaque auriverde reste une machine à broyer les défenses, capable de faire la différence à tout instant.
Mais les Lionceaux n’ont pas l’intention de céder à la peur. Portés par une défense rigoureuse menée par Ismael Baouf et Smail Bakhty, et par un collectif qui respire la confiance, ils veulent prouver que leur performance contre l’Espagne n’était pas un feu de paille. « Nous n’avons pas peur des adversaires de taille. Notre objectif est clair : gagner tous les matchs », a martelé Ouahbi après la première victoire.
Historiquement, Maroc et Brésil ne se sont croisés qu’une seule fois dans ce tournoi : en 2005, lors d’un match de classement aux Pays-Bas, les Sud-Américains l’avaient emporté 2-1. Vingt ans plus tard, le rendez-vous est pris pour une revanche au parfum de prestige.
Dans l’autre duel du groupe, l’Espagne s’est opposée au Mexique hier en soireé. Mais c’est bien le Maroc-Brésil qui attire tous les regards, tant cette affiche incarne le rêve et l’ambition. Les Lionceaux, sûrs de leur force, ont l’occasion d’écrire une nouvelle page mémorable de leur jeune Histoire.