Une absence qui ternit l’image du club, au moment même où le football féminin connaît un essor sans précédent au Maroc.
Derrière ce forfait se cache une crise de gestion révélatrice. La saison dernière, le membre du comité Zakaria Oussala avait assumé, à titre personnel, la gestion de l’équipe féminine ainsi que de la section futsal.
Cette année, il a exprimé le souhait de se consacrer uniquement au futsal, laissant la direction de l’équipe féminine à un autre membre du bureau directeur.
Résultat : aucun des 14 membres composant le comité n’a accepté de prendre en charge cette mission pourtant essentielle, alors même que certains ne disposent d’aucune autre responsabilité au sein du club.
Zakaria Oussala a tout de même tenté d’éviter le pire en réunissant les joueuses, en nommant un entraîneur et en réglant les primes de la saison précédente. Mais le manque de matériel, l’absence de terrain d’entraînement et des difficultés logistiques majeures ont rendu impossible la participation du groupe à cette première journée.
Dans plusieurs milieux sportifs, l’alerte est désormais lancée : la direction du KACM doit agir rapidement et mettre en place des solutions durables. Le club ne peut se permettre de laisser cette crise nuire à son image ni freiner l’essor du football féminin, au risque de manquer le tournant majeur que connaît aujourd’hui le sport féminin dans le royaume.
Derrière ce forfait se cache une crise de gestion révélatrice. La saison dernière, le membre du comité Zakaria Oussala avait assumé, à titre personnel, la gestion de l’équipe féminine ainsi que de la section futsal.
Cette année, il a exprimé le souhait de se consacrer uniquement au futsal, laissant la direction de l’équipe féminine à un autre membre du bureau directeur.
Résultat : aucun des 14 membres composant le comité n’a accepté de prendre en charge cette mission pourtant essentielle, alors même que certains ne disposent d’aucune autre responsabilité au sein du club.
Zakaria Oussala a tout de même tenté d’éviter le pire en réunissant les joueuses, en nommant un entraîneur et en réglant les primes de la saison précédente. Mais le manque de matériel, l’absence de terrain d’entraînement et des difficultés logistiques majeures ont rendu impossible la participation du groupe à cette première journée.
Dans plusieurs milieux sportifs, l’alerte est désormais lancée : la direction du KACM doit agir rapidement et mettre en place des solutions durables. Le club ne peut se permettre de laisser cette crise nuire à son image ni freiner l’essor du football féminin, au risque de manquer le tournant majeur que connaît aujourd’hui le sport féminin dans le royaume.





















