«Nous sommes parvenus à un accord sur un cadre général avec Witkoff qui garantit un cessez-le-feu permanent, un retrait total des forces d'occupation israéliennes de Gaza et l'entrée sans entrave de l'aide humanitaire», a déclaré le Hamas dans un communiqué. L'accord prévoit également «la création d'un comité de professionnels chargé de gérer les affaires de Gaza une fois le cessez-le-feu instauré», a déclaré le Hamas.
Une source du Hamas a affirmé que le mouvement avait accepté une proposition de Witkoff prévoyant "une trêve de 70 jours en échange de la libération de dix otages en deux temps". Alors qu’une autre source palestinienne fait état de "10 otages vivants seront libérés en échange d'une trêve de 70 jours, d'un retrait partiel (israélien) de Gaza (et) de la libération d'un grand nombre de prisonniers palestiniens".
Mais le Premier ministre israélien a promis lundi de ramener tous les otages, "les vivants et les morts", pendant que son armée pilonne intensément et sans relâche l’enclave palestinienne, fauchant les vies palestiniennes tous les jours.
"Si nous n'y arrivons pas aujourd'hui, on y arrivera demain et si pas demain alors après-demain, on n'abandonne pas (...)", a affirmé Netanyahu dans un discours clôturant les festivités de la "Journée de Jérusalem".
Israël ne facilite ni la livraison ni la distribution de l’aide
Sur le plan humanitaire, l’Organisation des Nations Unies a déclaré mercredi qu’Israël avait refusé les six convois humanitaires coordonnés par l’ONU à destination de Gaza. "En tant que puissance occupante, Israël doit autoriser et faciliter l’acheminement de l’aide dont la population a urgemment besoin", a affirmé le porte-parole de l’ONU, Stéphane Dujarric, lors d’une conférence de presse, précisant qu’"environ 900 camions ont été soumis à l’approbation israélienne depuis la semaine dernière, dont 800 acceptés. Mais seulement 500 ont pu être déchargés du côté israélien de Kareem Shalom, et encore moins ont atteint le côté palestinien, où nous avons pu récupérer un peu plus de 200 camions avec nos partenaires, en raison de l’insécurité et des restrictions d’accès". Il a également noté que moins de camions palestiniens sont disponibles pour collecter les cargaisons, ce qui signifie que "tous les camions déchargés côté israélien ne peuvent pas être récupérés côté palestinien", soulignant que les autorités israéliennes continuent de bloquer les efforts de l’ONU, y compris une tentative de coordination mercredi pour récupérer du carburant à Rafah. "Aujourd’hui, les six convois coordonnés ont tous été refusés à l’ONU", a-t-il ajouté.
Enfin, il a tiré la sonnette d’alarme sur le sort des déplacés: "Ils manquent de tentes, de bâches, de nourriture, d’eau et de nombreuses fournitures de base".
Une source du Hamas a affirmé que le mouvement avait accepté une proposition de Witkoff prévoyant "une trêve de 70 jours en échange de la libération de dix otages en deux temps". Alors qu’une autre source palestinienne fait état de "10 otages vivants seront libérés en échange d'une trêve de 70 jours, d'un retrait partiel (israélien) de Gaza (et) de la libération d'un grand nombre de prisonniers palestiniens".
Mais le Premier ministre israélien a promis lundi de ramener tous les otages, "les vivants et les morts", pendant que son armée pilonne intensément et sans relâche l’enclave palestinienne, fauchant les vies palestiniennes tous les jours.
"Si nous n'y arrivons pas aujourd'hui, on y arrivera demain et si pas demain alors après-demain, on n'abandonne pas (...)", a affirmé Netanyahu dans un discours clôturant les festivités de la "Journée de Jérusalem".
Israël ne facilite ni la livraison ni la distribution de l’aide
Sur le plan humanitaire, l’Organisation des Nations Unies a déclaré mercredi qu’Israël avait refusé les six convois humanitaires coordonnés par l’ONU à destination de Gaza. "En tant que puissance occupante, Israël doit autoriser et faciliter l’acheminement de l’aide dont la population a urgemment besoin", a affirmé le porte-parole de l’ONU, Stéphane Dujarric, lors d’une conférence de presse, précisant qu’"environ 900 camions ont été soumis à l’approbation israélienne depuis la semaine dernière, dont 800 acceptés. Mais seulement 500 ont pu être déchargés du côté israélien de Kareem Shalom, et encore moins ont atteint le côté palestinien, où nous avons pu récupérer un peu plus de 200 camions avec nos partenaires, en raison de l’insécurité et des restrictions d’accès". Il a également noté que moins de camions palestiniens sont disponibles pour collecter les cargaisons, ce qui signifie que "tous les camions déchargés côté israélien ne peuvent pas être récupérés côté palestinien", soulignant que les autorités israéliennes continuent de bloquer les efforts de l’ONU, y compris une tentative de coordination mercredi pour récupérer du carburant à Rafah. "Aujourd’hui, les six convois coordonnés ont tous été refusés à l’ONU", a-t-il ajouté.
Enfin, il a tiré la sonnette d’alarme sur le sort des déplacés: "Ils manquent de tentes, de bâches, de nourriture, d’eau et de nombreuses fournitures de base".