«C’est historique pour nous», a reconnu mercredi l’élu écologiste David Belliard au micro de franceinfo. Dans la soirée, la veille, son parti a enfin réussi à se mettre d’accord avec les socialistes pour rallier une liste d’union dès le premier tour, lors des municipales à Paris. Une liste commune dans laquelle seront également présents les communistes et qui se fera derrière la tête de liste du PS, Emmanuel Grégoire.
Rappelant que c’est la première fois que les écologistes ne seront pas présents en leur nom propre au premier tout, David Belliard évoque le besoin d’une «forme de responsabilité». «Même si nous sommes haut dans les sondages, je ne suis pas le mieux placé, à date, pour porter cette alliance», reconnaît-il également dans Libération.
Il reste toutefois une derrière étape avant que cette union dès le premier tour soit entérinée: le vote des adhérents. Les écologistes seront sollicités pour valider cette stratégie, le résultat devrait être connu dans la nuit du mercredi.
David Belliard continue par ailleurs de pousser vers un ralliement avec la liste de l’insoumise Sophia Chikirou pour mieux barrer la route à Rachida Dati (soutenue par LR et le MoDem), Pierre-Yves Bournazel (Renaissance et Horizons), ou encore Sarah Knafo (Reconquête) et Thierry Mariani (RN) qui aligneront tous des listes au premier tour. Il pourra notamment compter sur le communiste Ian Brossat également partisan d’une large union à gauche. «Le risque c’est que Paris tombe dans l’escarcelle d’une droite extrémisée», a prévenu sur Ici Paris, Ian Brossat, mettant en garde contre un rapprochement entre Rachida Dati et Sarah Knafo.
Nul doute que le sondage Ipsos pour Le Parisien, publié dans le week-end, aura pesé dans les dernières tractations de la gauche. Selon les chiffres, seule une liste d’union de la gauche conduite par le socialiste Emmanuel Grégoire, sans LFI, arriverait en tête du premier tour (32%), devant celle de la droite menée par Rachida Dati (27%).
Rappelant que c’est la première fois que les écologistes ne seront pas présents en leur nom propre au premier tout, David Belliard évoque le besoin d’une «forme de responsabilité». «Même si nous sommes haut dans les sondages, je ne suis pas le mieux placé, à date, pour porter cette alliance», reconnaît-il également dans Libération.
Il reste toutefois une derrière étape avant que cette union dès le premier tour soit entérinée: le vote des adhérents. Les écologistes seront sollicités pour valider cette stratégie, le résultat devrait être connu dans la nuit du mercredi.
David Belliard continue par ailleurs de pousser vers un ralliement avec la liste de l’insoumise Sophia Chikirou pour mieux barrer la route à Rachida Dati (soutenue par LR et le MoDem), Pierre-Yves Bournazel (Renaissance et Horizons), ou encore Sarah Knafo (Reconquête) et Thierry Mariani (RN) qui aligneront tous des listes au premier tour. Il pourra notamment compter sur le communiste Ian Brossat également partisan d’une large union à gauche. «Le risque c’est que Paris tombe dans l’escarcelle d’une droite extrémisée», a prévenu sur Ici Paris, Ian Brossat, mettant en garde contre un rapprochement entre Rachida Dati et Sarah Knafo.
Nul doute que le sondage Ipsos pour Le Parisien, publié dans le week-end, aura pesé dans les dernières tractations de la gauche. Selon les chiffres, seule une liste d’union de la gauche conduite par le socialiste Emmanuel Grégoire, sans LFI, arriverait en tête du premier tour (32%), devant celle de la droite menée par Rachida Dati (27%).
