Plus de 20 citoyens palestiniens sont tombés en martyr et plus de 200 autres ont été blessés, mardi, dans de raids violents israéliens sur un centre d’aides humanitaires dans la ville de Rafah, rapporte WAFA, alors qu’Anadolu Agency fait état de 24 morts.
Selon WAFA, l'artillerie et les avions de l'occupation ont tiré sur les Palestiniens déplacées qui attendaient de l'aide près d'un point de distribution d'aide humanitaire dans les environs de Dawar Al-Allam, à Rafah, tuant au moins 23 civils et blessant plus de 200 autres.
Dans le même contexte, Médecins Sans Frontières a déclaré que des dizaines de Palestiniens ont été tués dans des sites de distribution d'aide soutenus par les États-Unis et Israël.
L'organisation a également souligné que des dizaines de personnes ont été tuées et blessées, mardi, alors qu'elles attendaient de la nourriture dans des centres de distribution, soulignant que ces événements montrent à quel point le nouveau système de distribution d'aide est dangereux, et inhumain, avant d’ajouter que l'utilisation de l'aide humanitaire comme arme constitue un crime contre l'humanité.
L’ONG attire aussi l’attention sur l’imminence de l'épuisement des banques de sang, contraignant l'équipe médicale elle-même à donner du sang pour soigner les malades.
Depuis le 27 mai, l'armée israélienne attaque les zones de distribution établies par la «Gaza Humanitarian Relief Foundation», dirigée par Israël et les États-Unis, au nom de l'aide humanitaire. Les forces israéliennes ouvrent le feu sur les civils qui affluent vers les points de distribution établis dans les zones dites «tampons».
Selon WAFA, l'artillerie et les avions de l'occupation ont tiré sur les Palestiniens déplacées qui attendaient de l'aide près d'un point de distribution d'aide humanitaire dans les environs de Dawar Al-Allam, à Rafah, tuant au moins 23 civils et blessant plus de 200 autres.
Dans le même contexte, Médecins Sans Frontières a déclaré que des dizaines de Palestiniens ont été tués dans des sites de distribution d'aide soutenus par les États-Unis et Israël.
L'organisation a également souligné que des dizaines de personnes ont été tuées et blessées, mardi, alors qu'elles attendaient de la nourriture dans des centres de distribution, soulignant que ces événements montrent à quel point le nouveau système de distribution d'aide est dangereux, et inhumain, avant d’ajouter que l'utilisation de l'aide humanitaire comme arme constitue un crime contre l'humanité.
L’ONG attire aussi l’attention sur l’imminence de l'épuisement des banques de sang, contraignant l'équipe médicale elle-même à donner du sang pour soigner les malades.
Depuis le 27 mai, l'armée israélienne attaque les zones de distribution établies par la «Gaza Humanitarian Relief Foundation», dirigée par Israël et les États-Unis, au nom de l'aide humanitaire. Les forces israéliennes ouvrent le feu sur les civils qui affluent vers les points de distribution établis dans les zones dites «tampons».
Le traquenard mortel de "distribution de l'aide"
Le 1er juin, 32 personnes ont été tuées et 232 autres blessées lors des attaques de l'armée israélienne contre des Palestiniens qui tentaient de recevoir de l'aide humanitaire en deux points distincts de la bande de Gaza.
Le bilan des attaques contre les Palestiniens dans les centres de distribution d'aide s'élève à 76 morts.
Philippe Lazzarini, commissaire général de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA), a déclaré que «la distribution de l'aide dans la bande de Gaza s'est transformée en un piège mortel».
Par ailleurs, plusieurs civils palestiniens sont tombés en martyr et d’autres ont été blessés, dont des enfants, dans de raids israéliens sur différentes régions dans la bande de Gaza.
Deux enfants sont morts dans une frappe sur une maison, dans la ville de Khan Yunis.
Trois autres palestiniens ont été tués par l'occupation qui a ciblé une tente pour les déplacés dans les environs de la ville de loisirs d'Assada, à Khan Younis, tandis qu'un autre citoyen a été tué et trois autres blessés dans une autre attaque.
Deux civils ont également été tués et d'autres blessés par les bombardements de l'occupation contre un groupe de civils près d'un supermarché Bashara, dans la région montagneuse du nord de la bande de Gaza.
Selon des sources médicales, 32 martyrs sont arrivés au complexe médical Nasser à la suite des bombardements de l'occupation sur les villes de Khan Younis et Rafah, dont 24 martyrs à la suite des bombardements et des tirs de l'occupation sur les milliers de personnes se dirigeant vers un centre d'aide à Rafah.