Sous la supervision du directeur régional Abdelilah Nafis, les prisons El Jadida 1 et El Jadida 2 ont effectivement reçu des dizaines d’ouvrages couvrant la littérature, la poésie et la pensée contemporaine. Cette opération s’inscrit dans l’accord conclu entre le ministère de la Culture et la Délégation générale à l’administration pénitentiaire, qui entend faire du livre un outil de réforme et de réinsertion.
Les responsables soulignent que la lecture, au‑delà du loisir, constitue une véritable passerelle vers la reconstruction personnelle. En diversifiant les titres et les genres, l’initiative vise à stimuler la curiosité intellectuelle des détenus et à leur offrir un espace de réflexion et d’ouverture.
« Le droit à la connaissance est universel », rappelle de son côté Abdelilah NAFIS, qui insiste sur le rôle central de la culture dans l’accompagnement des parcours de réinsertion. Le soutien aux bibliothèques pénitentiaires est présenté comme un engagement à transformer les murs en passerelles, et les pages en horizons.
Les responsables soulignent que la lecture, au‑delà du loisir, constitue une véritable passerelle vers la reconstruction personnelle. En diversifiant les titres et les genres, l’initiative vise à stimuler la curiosité intellectuelle des détenus et à leur offrir un espace de réflexion et d’ouverture.
« Le droit à la connaissance est universel », rappelle de son côté Abdelilah NAFIS, qui insiste sur le rôle central de la culture dans l’accompagnement des parcours de réinsertion. Le soutien aux bibliothèques pénitentiaires est présenté comme un engagement à transformer les murs en passerelles, et les pages en horizons.
Mohamed LOKHNATI





















