Cette rencontre a réuni notamment Hassan Berkani, président de la CCIS Casablanca–Settat, Anouar Harrak, directeur du port de Casablanca, Fatima Zahra El Mokhtari, directrice du pôle offre territoriale et climat des affaires au Centre régional d’investissement (CRI) de Casablanca–Settat, ainsi que des représentants du consulat général des États-Unis.
Y ont également pris part Marouane Rachdi, vice-président de la Chambre, Ibrahim Ben Zouina, président de la commission du partenariat et de la coopération internationale, Mohamed El Fenn, rapporteur de ladite commission en charge du dossier de la coopération maroco-américaine, ainsi que des cadres de la CCIS.
Dans son allocution d’ouverture, le président de la Chambre a souligné que la mission de l’institution consiste à créer des opportunités concrètes au profit des acteurs économiques régionaux. Il a rappelé que Miami ne se limite pas à son attractivité touristique, mais constitue une plateforme logistique stratégique reliant les marchés nord et latino-américains, insistant sur l’importance de promouvoir la marque « Made in Morocco » comme gage de qualité et de fiabilité sur le marché américain.
De son côté, le directeur du port de Casablanca a mis en avant le rôle central de la logistique dans ce partenariat, évoquant la possibilité de l’ouverture d’une ligne maritime directe entre Casablanca et Miami. Il a par ailleurs présenté les principaux projets engagés au port en 2025, notamment la modernisation des infrastructures, la création d’un nouveau chantier naval, l’aménagement d’un port de pêche, le développement d’un terminal de croisière et la construction d’un complexe administratif regroupant les différents acteurs portuaires.
Pour sa part, la représentante du CRI a exposé la stratégie régionale d’attraction des investissements américains, s’appuyant sur les incitations prévues par la nouvelle Charte de l’investissement. Elle a estimé que la région Casablanca–Settat dispose des atouts nécessaires pour s’imposer comme une porte d’entrée privilégiée des investisseurs américains vers le reste du Royaume et le marché africain.
Les travaux ont été clôturés par un accord sur un calendrier précis de mise en œuvre des différents axes de coopération, traduisant la volonté commune de faire de ce partenariat un modèle de coopération décentralisée entre le Maroc et les États-Unis.
Y ont également pris part Marouane Rachdi, vice-président de la Chambre, Ibrahim Ben Zouina, président de la commission du partenariat et de la coopération internationale, Mohamed El Fenn, rapporteur de ladite commission en charge du dossier de la coopération maroco-américaine, ainsi que des cadres de la CCIS.
Dans son allocution d’ouverture, le président de la Chambre a souligné que la mission de l’institution consiste à créer des opportunités concrètes au profit des acteurs économiques régionaux. Il a rappelé que Miami ne se limite pas à son attractivité touristique, mais constitue une plateforme logistique stratégique reliant les marchés nord et latino-américains, insistant sur l’importance de promouvoir la marque « Made in Morocco » comme gage de qualité et de fiabilité sur le marché américain.
De son côté, le directeur du port de Casablanca a mis en avant le rôle central de la logistique dans ce partenariat, évoquant la possibilité de l’ouverture d’une ligne maritime directe entre Casablanca et Miami. Il a par ailleurs présenté les principaux projets engagés au port en 2025, notamment la modernisation des infrastructures, la création d’un nouveau chantier naval, l’aménagement d’un port de pêche, le développement d’un terminal de croisière et la construction d’un complexe administratif regroupant les différents acteurs portuaires.
Pour sa part, la représentante du CRI a exposé la stratégie régionale d’attraction des investissements américains, s’appuyant sur les incitations prévues par la nouvelle Charte de l’investissement. Elle a estimé que la région Casablanca–Settat dispose des atouts nécessaires pour s’imposer comme une porte d’entrée privilégiée des investisseurs américains vers le reste du Royaume et le marché africain.
Les travaux ont été clôturés par un accord sur un calendrier précis de mise en œuvre des différents axes de coopération, traduisant la volonté commune de faire de ce partenariat un modèle de coopération décentralisée entre le Maroc et les États-Unis.
Mohamed LOKHNATI






















