C’était censé être la grande fête du football national, mais le derby casablancais a tourné à la déception totale. Une rencontre sans saveur, sans idée et sans âme… Un match marqué par le vide : zéro spectacle, zéro audace et zéro plaisir. 
   
Sur la pelouse, deux entraîneurs prisonniers de leurs calculs, des joueurs sans personnalité, et dans les tribunes, un public dont certains comportements ont terni davantage l’image de ce classique du football national. Le résultat : un spectacle terne, indigne de l’histoire du Raja comme du Wydad, et loin de justifier les millions investis et les transferts réalisés à prix d’or.
   
Tout, ou presque, fut négatif, de la conception du jeu jusqu’à l’ambiance dans les gradins. Ce derby a laissé un goût amer, une immense déception, et une question lancinante : où est passée la magie de Casablanca ?
   
La véritable défaite ne se lit pas sur le tableau d’affichage, mais dans l’image désolante que renvoie désormais le football de la capitale économique. Il est temps de se remettre en question, de retrouver le courage de penser avant de jouer, et de replacer la passion au cœur du terrain.
   
Car un derby ne se gagne pas par la peur. Il se construit avec la joie, l’audace et l’envie de procurer du plaisir avant même de glaner des points. Et surtout, il mérite d’être purgé de ces comportements irresponsables que certains prennent à tort pour une forme d’expression créative.
  
				 Sur la pelouse, deux entraîneurs prisonniers de leurs calculs, des joueurs sans personnalité, et dans les tribunes, un public dont certains comportements ont terni davantage l’image de ce classique du football national. Le résultat : un spectacle terne, indigne de l’histoire du Raja comme du Wydad, et loin de justifier les millions investis et les transferts réalisés à prix d’or.
Tout, ou presque, fut négatif, de la conception du jeu jusqu’à l’ambiance dans les gradins. Ce derby a laissé un goût amer, une immense déception, et une question lancinante : où est passée la magie de Casablanca ?
La véritable défaite ne se lit pas sur le tableau d’affichage, mais dans l’image désolante que renvoie désormais le football de la capitale économique. Il est temps de se remettre en question, de retrouver le courage de penser avant de jouer, et de replacer la passion au cœur du terrain.
Car un derby ne se gagne pas par la peur. Il se construit avec la joie, l’audace et l’envie de procurer du plaisir avant même de glaner des points. Et surtout, il mérite d’être purgé de ces comportements irresponsables que certains prennent à tort pour une forme d’expression créative.










 
			 
 




 
 
			 






